Rue Bricabrac

Si avec ça le sapin n'a pas les boules... (3 - tapant)

Rue Bricabrac, bdsm, cul

SOUMISE Nespress'O n'est pas dispo ? Esclave Geisha n'est pas là ? Ta main te démange ? Un cul, il te faut un cul, fut-il d'une bouteille ?

Qu'à cela ne tienne, un sticker et hop, pan !

Avec les sous-bocks façon écrans d'iPhone (pour les amis geeks), on tient là (pour les amis sm) un de ces exemples de cadeaux à la fois sobres, exquis, consensuels et surtout d'un goût à toute épreuve.

(Et qui en rappellera une bien bonne sur la branlette aux amateurs de blagues fines.)



Oh la main !

Rue Bricabrac, bdsm, culotte
photo Sergey Dumik

DE l'intéret de porter une culotte. Sans elle, il n'y aurait pas cette sensation exquise d'une main* étrangère et ferme (mais aussi si familière et douce) qui nous en débarrasse.

* Oui, on en parle partout !

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Parler avec les mains

Rue Bricabrac, bdsm, hors-champ
photo Shiver

QUAND les mains ne sont ni jointes ni enchaînées, elles agrippent parfois la cuisse du d'homme, ou un coussin ou les draps.

Elles racontent, jointures blanches ou dos mordu, une histoire parallèle, qui se passe en des contrées plus méridionales. Hors-champ. Une histoire à deviner, à inventer, à jouer.

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Elle voit des mains partout (piqûre de rappel)

Rue Bricabrac, bdsm, mains

JE peux désormais hisser les couleurs quand je téléphone. Si avec ça, "ils" ne comprennent pas !

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Oui main non

Rue Bricabrac, bdsm, main




Un petit coup de main ?

C'est ici, et ça se mouche pas du pied.

Prenez la dans votre main lorsque vous ressentez un désir [...].
Vous pouvez la mettre entre vos mains ou sur n’importe quelle partie du corps, cela dépend des « maux » de chacun.
Il s’agit de la prendre en ne pensant à rien [...].

Et si c'était là la solution ?


(Force est de constater que la gogologie a encore de beaux jours devant elle, et a grand intérêt à ce que le plus grand nombre ne pense à rien.)

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Sage massage

Rue Bricabrac, bdsm, màme
photo Tootdood

FOURBUE par une nuit sans sommeil, de passage furtif dans un étrange ailleurs, je rentre dans ce salon de massage qui ne promet pas de happy ending, bien au contraire, mais se propose de rendre sa liberté de circulation au Qi.

Une jeune femme fluette, de ses mains insolemment puissantes, joue à la toupie avec mes disques et transforme mes mollets en chop-suey. Quand elle passe sur mon visages, ses doigts sont comme des papillons. La barrière de la langue interdit tout dialogue. Je me laisse faire.

Ce soir, je dormirai profondément. Je dors déjà. Je me dis que les d'hommes devraient tous avoir des mains pareillement douées pour la force (je crois qu'elle a touché la dure-mère) que pour la délicatesse. Delicatessen, délicatement sm.

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La gifle

Rue Bricabrac, bdsm, gifle
photo From the ghetto of Libertyville

LA dernière fois que j'ai reçu une gifle, c'était une giflette à peine effleurée, mais le geste était là. Elle venait d'un dominateur qui tentait un peu tout, un homme que j'avais rencontré trop vite, trop tôt, après une rupture douloureuse, que je soignais par une boulimie bdsm. Immédiatement je l'ai repoussé, j'ai renfilé mon pull (un de ces immenses pulls surdimensionnés qu'il fait bon porter en hiver) et je l'ai chassé. Il s'est jeté à mes genoux, me suppliant de le pardonner, susurrant des mots qu'on adresse aux bébés.

La première fois que j'ai reçu une gifle, c'était sur un sentier de montagne, en retrouvant ma mère qui me croyait perdue, alors que j'étais juste partie quelques minutes aux myrtilles, dans les fourrés. Le soir, elle s'est mangé un sermon sévère de mon père qui ne croyait pas aux châtiments corporels, mais au dialogue.

Il n'y a pas eu d'autres fois.

La dimension humiliante de la gifle, plus que la douleur et la sensation que tout part en morceaux dans sa tête, me dérange. Comme tout ce qui touche à l'humiliation.
Pourtant, elle va et vient dans mes fantasmes. (Va plus que vient, en vérité.)

La première, c'est moi qui la donne. En sachant qu'elle me coûtera cher. Je le gifle donc. De rage. D'ire. D'hystérie. Je ne pense pas lui faire mal, je n'en ai d'ailleurs pas envie. Je lance de ma main éventail le début des hostilités. Je signe par ce soufflet la fin (temporaire) de la sensualité. Je me souviens du gant que les futurs duellistes se jetaient au visage. Le symbole est là.

Libéré de ses dernières retenues, il peut alors m'envoyer un de ces aller et retour qui sonnent en frôlant le KO et font la tête bourdon, et une fois la tête perdue parler à mon cul à canne rabattue.

Ou alors, mieux encore, avec une distance froide qui me glace et m'angoisse, il m'attache à une chaise (tout le monde n’a pas un pilori à ldemeure). Il m'annonce qu'il va me gifler. Deux fois. (Je sens les glaçons entre ses mots.) Ou quatre. On verra bien. Il m'ordonne de ne jamais fermer les yeux, même quand sa main s'approchera, même quand elle m'étourdira. Que ma punition sera celle-ci, et que chaque cillement ou tentative de baisser la tête, annulera non pas la gifle, mais le compte.

Et là, je ne peux aller plus loin. Je ne sais pas si j'ai vraiment envie de cela. Je crois que ce qui me plaît, c'est de garder la gifle comme une épée de Damoclès, une véritable punition, quelque chose qui ne me ferait pas mouiller, que je pourrais enfin appréhender (et en écrivant ce mot, je réalise sa polysémie, qui reflète bien ma joue entre deux mains).

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Trop de la balle !

Rue Bricabrac, bdsm, ballons, fesses
photo Erdewerde

DU dragée à la cerise, de courbes en rondeurs, du pneumastique à l'élastique, de tam-tam en courroies, voilà qui donne envie de confier ses ballons à des mains joueuses et expertes, et aussi dures pour colorier, douces pour ne pas abimer, métronomées pour donner le tempo, rythmées pour produire de la musique, sportives pour les services volées, audacieuses pour jouer à plus qu'à la balle, investigatrices pour n'avoir pas peur des failles, rebondissantes pour remettre cela, plébéiennes pour froisser, peintresses pour talocher, boulangères pour pétrir, osées pour aller de l'avant, étrangères pour dépasser les frontières, nouvelles pour aborder l'automne avec des couleurs rousses.

Entre autres.



Des maux, des mains et des images (Top Ten modern)

J'AIME particulièrement la manière, qui me rappelle certains de mes tortillements auprès d'amants vanilles, dont Dina Meyer en shorty bleu (Federal Protection - 2002) agite le derrière pour aimanter la main de son compagnon, sans parler de son regard à la caméra quand il commence à comprendre de quoi elle a vraiment envie. (Oui, Dahlia, on est d'accord, le summum de l'érotisme, c'est La secrétaire)

Parfois, ça marche. Ensuite, le tout est de reproduire et d'amplifier l'action.

Pourquoi donc ce blocage, sauf entre affranchis ? Pourquoi est-ce parfois si difficile de demander, sur l'air princier et ténu du "Dessine-moi un mouton", "Donne-moi une fessée, s'il te plaît, inonde-moi de ces attentions brûlantes qui étanchent ma soif, amène-moi au don, au cri, aux larmes, laisse aller ta main, ton bras, ton élan. Prends ton pied sur mon corps en l'écoutant résonner. Laisse-toi gagner par mes vibrations, chauffe-toi en me culorifant !"

(Spéciale dédicace à I***)



Tu, toi, à tâtons

Rue Bricabrac, bdsm, premières fois
photo Raquel Santana

TU ne me connais pas.
Tu ne connais pas mon corps.

Tu me connais un peu, parce que tu poses beaucoup de questions, auxquelles je réponds volontiers. Nous savons tous les deux qu'il n'y a que les réponses à être indiscrètes.
Tu ne connais de mon corps que cette partie que tu découvres et qui occupe ton champ quand je verse sur tes genoux.
Tes paumes ont ce claquement plein des mains habituées aux arts martiaux, elles ont le sens du rythme et me donnent le tempo.
Je prends la mesure de ton sexe, flèche de silex au gland velours.

Tu connais des brèves parties de mon corps.
Je ne connais qu'à peine de ta chair.

Tu découvres mon dos, mes orteils.
Je caresse ton nombril, ton torse.

Tu m'échauffes, je te liquéfie.
Je suis rouge jusqu'aux joues, dis-tu.
Mes doigts courent dans ta toison.
Ma peau ne t'a pas encore dit grand-chose.
Je cherche ton odeur.
On n'ose, on ose, sans au secours.

Nous sommes nus, allongés côte à côte.

Me connais-tu un peu mieux ?
Que sais-je déjà de toi ?

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La main chaude de Marcel

Comme il y a de fortes chances pour que la vie ne soit pas mauve tous les jours en 2008, on en reprendra bien une petite volée.

Rue Bricabrac, bdsm, nouvel an, main
photo Red Charls

Chauffe, Marcel !

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2007, sans regrets

Rue Bricabrac, bdsm, nouvel an, main
photo Spiralz

2007 expire, que 2008 inspire.

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Elle voit des mains partout (Part 13)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

AINSI font font font les petites menottes, ainsi font font font trois mille tours et puis s'en vont...

Je ne passe pas la main pour autant. Ce n'est qu'un au revoir aux mains, du moins dans leurs variations légères et estivales. Elles auront toujours ma préférence, pour gifler ma chair dans l'écho des peaux, pour caresser mes creux les plus secrets, pour approcher mes lèvres et recevoir mes baisers.

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Elle voit des mains partout (Part 12)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

À force de voir des mains partout, il y en a vraiment partout, et en nombre, on dirait. Pour preuve, ce petit morceau extrait du récit d'une oiselle fraîchement plumée...

Il m'a donné l'ordre de me deshabiller,jambes ecartées mains sur la nuque,cambrée et mains au mur,

La ponctuation étant hésitante, je penchais pour six mains, mazette, madame, trois paires de bras, félicitations. Mais peut-être n'y en a-t-il que quatre (c'est Shiva, pour le moins, dont les bras sont bien loin d'être un signe de soumission...), si une fois déshabillée, les deux mains qui ont servi à l'effeuillage prennent place derrière la nuque.
La soumise transgénique est arrivée.
La suite nous apprendra si elle a été élevée ainsi pour mieux servir son millimètre, et le grandir un peu (la mienne en a plus que la tienne) ou bien si c'est un effet de bord du maïs OGM généreusement prodigué dans sa volière par maître Monsanto.

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Elle voit des mains partout (Part 11)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

POURQUOI diable l'expression "une main de fer dans un gant de velours", attribuée pareillement à Napoléon et à Bernadotte, perdure-t-elle à l'infini ? Parce que le cliché parle trop bien de lui-même, et propose une alternative imagée aux plus banals "sévère mais juste" et "ferme mais tendre" ?

Une main de fer, quand on y pense, ça renvoie aux gantelets, à la gente soldatesque, à quelque chose de mal commode, de caparaçonné, de protégé, de grinçant. Les premières prothèses, l'avant-bras de Folamour, les membres mal huilés du Tin Man d'Oz, l'appendice anthropomorphe de quelque robot mal léché. Une main de fer, en plus, ça rouille. Alors, coller un gant de velours par-dessus, franchement, c'est du cache-misère. D'autant que ce qui serait vraiment épatant, ce serait de découvrir une main de velours une fois le gant de fer éparpillé.

Pourtant, c'est juste vêtue de sa peau, douce ou calleuse, soyeuse ou râpeuse, pulpeuse ou sèche, pour ce jeu de paume, la main n'a besoin ni de tissu ni de métal. C'est à elle de savoir se faire acier ou satin, battoir ou onde, cinglante ou caressante.

Je vous en serre cinq, vous m'en collez bien plus.

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Elle voit des mains partout (Part 10)

Rue Bricabrac, bdsm, main
Photo Only Alice

POUR une fois, ce seraient mes mains. Déliées, mais tendues.

Libres, comme une illusion. Rampantes sur le sol ou contre un mur, étirées pour attraper une clé, faire un signe, agripper le bas d'un pantalon.
Esquisser le geste de partir, mais ne pas pouvoir, ça tombe bien. Ne pas vouloir surtout. Choir encore.
Hors champ, bâillonnée, aveuglée, un pied enchaîné arrimé, captive au faible rayon d'action, je cherche une impossible fuite.

Je jouis autant que je crains la vanité de ces efforts. À terre et si haut à la fois.

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Elle voit des mains partout (Part 9)

Rue Bricabrac, bdsm, main

L'ENVIE, l'idée, c'est de ne pas y aller de main morte, et une main défunte, in memoriam canal carpien, ne pourrait pas grand chose (N*** me raconta récemment comment, après avoir perdu la sensibilité de sa dextre, il avait encore plus le coeur à l'ouvrage fessatoire au retour d'icelle). En tout cas, je l'espère.

Sous les rafales, mon corps jubile, perd pied et à sa manière, atteint une sorte d'assomption que d'aucuns appellent 7e ciel, d'autres subspace.

Je ne l'appelle pas, je l'espère à chaque fois, et quand je grimpe, je ronronne.

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Elle voit des mains partout (Part 8)

Rue Bricabrac, bdsm, main
Jimmy Moonbeam00

POUR appliquer l'enduit, il faut une taloche (comme quoi, même les travaux de peinture me renvoient à l'immarcescible obsession). Un amant m'en a un jour fait tâter, que je comprenne ce que signifiait l'expression "tu vas prendre une taloche".

Taloche, comme galoche, mioche, pétoche ou gavroche, encore un mot de l'enfance, interdit aux plus de douze ans, de la gifle considérée comme un acte constructeur, et de la main parentale métamorphosée en mano maçonnique.

Il en est des mains comme de toutes les histoires, elles vont souvent dans le mur, surtout celles qui bâtissent les maisons.
Pourtant bien endurantes, ces mains de maçons ne seraient-elles pas mieux accueillies sur un postère douillet, qui en ondulerait, lascif et lubrique, de délice.

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Elle voit des mains partout (Part 7)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

ELLE court, elle court, la main. Elle est passée par ici, laissant sa signature écarlate comme un branding éphémère, elle repassera par là, comme une fleur d'hibiscus au grand jour.

Déjà, avant Lascaux, avant la croix malhabile, avant le ciment frais d'Hollywood Boulevard, c'était d'une main se faisant la plus longue et large possible, étirant écartant les cinq doigts à l'acmé, que l'homme laissait sa marque sur sa propriété.

Pour garder plus longtemps son empreinte, ne faudrait-il pas faire une main courante (non, non, il ne s'agit pas de tenir bon la rampe, pour une fois), consigner scrupuleusement ses faits (fesses) et gestes, anoter un grand cahier de greffier (qui ne miaule ni ne siffle).

À deux mains, la suite...

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Elle voit des mains partout (Part 6)

Rue Bricabrac, bdsm, mains
D.R.

CETTE image d'un soutien-gorge résolument emboîtant, envoyée par Billeversée (merci ! je ne sais d'où elle sort non plus) me fait penser que toute obnubilée par mes jumelles rondeurs méridionales, j'oubliais qu'un peu plus au septentrion, s'en trouvent deux autres qui savent aussi recevoir.

Entièrement occupée par la java qui se jouait au sud, et qui vit crever en vol deux paddles et un bambou, sans que mon postérieur n'en garde la moindre trace (heureusement, au niveau du cerveau, le suicide des neurones n'a pas encore commencé), je n'ai qu'à peine sursauté, tressauté, tressailli (ou étais-je déjà dans ces ailleurs qui n'ont pas de nom, mais où les sens s'entressent) quand des gifles ont fait swinguer mes seins. Pourtant, ces deux-là, sous ces coups de main, ont chanté le blues.

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Elle voit des mains partout (Part 5)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

JOUER à la main chaude...

En cet été frais, c'est l'idéal.
Il n'y a pas de règles.
L'idée, c'est que la main garde son sang froid mais chauffe les sens et les seins, fesses, sexe et plus si entente.
Une paume peut-elle rester fraîche tandis qu'un cul surchauffe, sursaute, surenchérit ?
La paume devient palme d'or en fusion, jusqu'à fondre en son coeur, (surtout si la main est de fer et sans gant de velours).

Que calor la vida.

En bonus-track, les règles du jeu de la main chaude telles que trouvées ici :

(Tout le monde aura compris par quoi remplacer la main tendue derrière le dos et apprécié la tête enfouie dans les genoux du meneur de jeu... J'adore la perversité délicieuse des jeux d'enfants. Reste à trouver sept messieurs avenants qui sauront avoir la situation bien en main)

Nombre de joueurs : 6 à 8.

But du jeu : deviner quel joueur vous a tapé dans la main.

Comment jouer ? : Un joueur, désigné par tirage au sort vient se cacher la tête dans les genoux du meneur de jeu (qui, lui est assis) et tend une main derrière son dos. Les autres se groupent au fond de la pièce : l’un d’entre eux s’avance et tape, plus ou moins légèrement, dans la paume du joueur « aveugle », puis il s’esquive et rejoint le groupe. Celui qui a été ainsi frappé compte jusqu’à 3 avant de se retourner : d’après les physionomies, il doit deviner qui l’a tapé (il cherche aussi à identifier, à l’attitude celui qui vient de se déplacer). S’il tombe juste, il change de rôle avec le « frappeur ». Sinon, le jeu reprend (un même joueur peut venir taper deux fois de suite).

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Elle voit des mains partout (Part 4)

Rue Bricabrac, bdsm, main
photo Onkel Ulle

LES mains ont leur langage, elles signent et c'est bien pratique quand l'oreille est ailleurs.
J'ai la chance d'être tout ouïe, surtout quand j'ai les yeux bandés, et j'entends les mains me parler. Rageuses, elles tambourinent à toute allure, sans temps mort, une par fesse, et me disent "haut la croupe". Lourdes, lentes, elles se font battoir, me plaquant net, "garde la position". De bas en haut, doigts écartés, elles me font sursauter, "tais-toi, je marque". Menaçantes, elles se saisissent d'une cravache qui siffle "tu vas sentir ce que tu vas entendre". À la paresseuse, un index fureteur, un pouce inquisiteur, un majeur tripoteur, et deux doigts qui cinglent, souvenir de cour d'école, "attends la suite, tu vas déguster".

Les mains promettent et tiennent parole. Elles parlent fort, pour être sûres d'être comprises. Parfois elles crient, et je pleure un peu.

J'aime les hommes qui parlent avec les mains. Et comme pour tout langage, certains ont plus de vocabulaire et une syntaxe plus sophistiquée que d'autres...

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Elle voit des mains partout (Part 3)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

BAS les pattes ! Oui, c'est cela, plus bas. Juste là, exactement..

Si tous les gars du monde voulaient se donner la main ?
Peut-être pas tant que cela, mais il est vrai qu'en toutes situations, et particulièrement dans quelques positions bien précises, on a toujours besoin d'une main secourable.

Et si la main venait à manquer de punch et de zeste, une tonique citronnade, pas avec ce cédrat (dit "main de bouddha", je n'ai donc pas rêvé) à la forme intéressante mais peu juteux, et ça repart.

Haut les mains !

(Da capo)

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Elle voit des mains partout (Part 2)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

UNE paume glacée, sur la vitre, comme un jeu d'enfant qui s'ennuie en voiture ou dans un train, le nez collé au carreau.
Une main, ouverte, offerte, comme un signal dans le givre, éphémère.
Une main venue du froid qui parle de chaleur, celle plus rouge qui s'imprime sur une fesse.

La main au carreau, la caresse aux fesses, tiens-toi à carreau, penche-moi, j'ai envie de ta main au cul.
Je rêve...

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Elle voit des mains partout (Part 1)

Rue Bricabrac, bdsm, main

MEME les magnets s'y mettent (en vente par paquet de six, y en aura pour tout le monde).

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L'oreille
Juke Boxabrac
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La peau
Présentation

presque moi
aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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Les mots
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