Rue Bricabrac

Le lien du désir

Rue Bricabrac, bdsm, liens
Rosie Hardy

TU m'as envoyé cette photo.
Elle te fait penser à moi.
Sans doute parce qu'elle évoque notre relation.

Une relation sm réussie (et je ne parle pas de la D\s à quoi je ne connais rien) est ce mélange de lien et de liberté (combien d'ouvrages réunissent les mots chaînes ou liens et liberté ou plaisir). Un dosage très exact, parfaitement équilibré, sinon, la relation rompt, et tombe.
Comme pourrait le faire la femme de la photo, qui semble ne tenir qu'à un souffle.
Ce ne sont pas les liens qui lui donnent sa liberté, comme on pourrait le croire, c'est sa liberté de les avoir choisis, pour jouer à l'oiseau, à la Lorelei qui se prendrait pour Icare.

Ce n'est que parce que je suis libre, profondément libre, jouissant de mes mouvements, de mes choix, de mon libre arbitre, que je peux non seulement désirer parfois en abdiquer sans me sentir trahir mon humanité, mais aussi l'accepter, dans ce que cela peut avoir de plus révoltant. Quelque chose, quelqu'un, m'aliénerait, j'en serais incapable. Ce ne pourrait plus être la relation que je veux vivre.
Elle serait faussée, entachée, pervertie. Elle serait vécue pour de mauvaises raisons.
(Par mauvaises raisons, j'entends autre chose que la recherche du plaisir.)

Sur cette photo, sans ces liens si simples, il ne serait pas possible de savourer l'ivresse du vide, la peur de la chute, la chaleur d'un soleil couchant mêlée à la fraîcheur d'un vent debout.
Il n'y a eu besoin de personne pour s'attacher ainsi.

Et c'est parce qu'il n'y a besoin de personne que c'est bon qu'il y ait quelqu'un. C'est ce qui fait que l'on sublime le besoin en désir.

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Circulez !

JE reçois, en guise de question, cette photo. Stop ou encore ?

Rue Bricabrac, bdsm, bondage
photo Calvato

Je décide de la sauvegarder, et dans le menu contextuel, je vois que je peux en faire un événement, ou une tâche. C'est amusant. Au programme ce soir, donc...

... Dire stop quand on pense pourvu que ça dure toujours, juste pour que l'autre continue mais en étant averti de que l'on défaille malgré sa gourmandise.

... Dire stop, ou rouge, ou cornouailles, ou police, ou joker, parce que tel est le safeword défini en espérant n'avoir jamais à s'en servir parce que l'autre est suffisamment averti et à l'écoute.

... Dire stop parce qu'on s'emballe et que l'on souhaite que son cœur se calme et que son corps se déflamme, pour pouvoir continuer longtemps sans penser stop.

... Dire stop... non, ne pas dire stop, dire et penser encore, encore, encore. Rebelote et banco. Carte blanche et dix de der.

Encore, s'il te plaît.

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Com-pli-ci-té

Rue Bricabrac, bdsm, liens
D.R.

IL m'arrive, souvent, alors qu'aucune contrainte ne m'est imposée, matérielle ou injonctive, de joindre ainsi les poignets.

J'allais dire par réflexe. Non, ce n'est pas un réflexe, je n'ai rien d'une chienne pavlovienne qui se met en position (quel numéro déjà ?) quand elle entend le fouet de son maître.
À l'instar des chats, je suis un animal de rites. Et de gestes. Joindre (ou croiser) les poignets est une approbation muette. Elle dit oui, go, zyva, je suis prête, fais comme chez toi, je m'offre, je veux en ce moment être liée à toi, par toi, pour toi.

Et si, par une douleur frôlant l'insupportable avant que la jouissance procurée ne me tempère, je levais un bras comme un drapeau blanc, je le rapproche à nouveau et très vite de l'autre. Ce n'est pas de la soumission, c'est de la complicité. Dans toute la polysémie de ce mot, y compris la juridique.
Nous sommes complices, de mèche, comme mon avant-bras droit est collé au gauche, quand tu me bats d'ailleurs, nous ne faisons plus qu'un, même si nous ne recherchons pas désespérément la fusion, c'est ainsi, très simplement, très logiquement. Nous sommes une libre ligue, pas de vertu heureusement, indissoluble, non déclarée, une association de bienfaisance mutuelle et nous hissons haut nos couleurs. Pas trop tout de même. Ce serait de l'exhibition.

Et si ma tête repose ainsi, les yeux fermés sans besoin de bandeau, c'est que dans mon égoïsme endorphinique, j'ai baissé le rideau. Si tu es très tendre, tout à l'heure, je te raconterais.

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Histoire (presque) sans paroles (Part 4)

QUE reste-il de nos amours ? Un vieux bondage abandonné, un fantôme dessiné...

Rue Bricabrac, bdsm,liens
photo Florian Geldner
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Lit et liée

OÙ l'on reparle des liens invisibles. Qu'il faut savoir entrevoir, avoir envie de nouer à l'encre sympathique, d'ancrer de sentiments empathiques, de lier comme une faveur.

Rue Bricabrac, bdsm, liens invisbles
photo Satoshi Saikusa

T'attendre ainsi.

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Une pellicule qui impressionne

Rue Bricabrac, bdsm, bondage
photo Joël*

IL y a la plupart du temps plusieurs raisons d'aimer une photo. Le cadre, la lumière, la composition, la beauté du modèle, ce que l'on étudie dans les écoles d'art, ce que guide le sens artistique, ce qui révèle la sensibilité de l'auteur.

Celle-ci en plus de toutes ses qualités plastiques et esthétiques m'évoque deux choses.

La première, c'est que bientôt, un tel bondage ne sera plus possible. Attacher sa mie avec la pellicule impressionnée par une soirée ratée ou des vacances ennuyeuses, version duo et sado des soirées diapos pour masos est déjà une prouesse à l'ère du numérique. Cela donne envie d'acheter quelques rouleaux d'Ilford N&B sur eBay, car même en couleurs, la pellicule noire et blanche est plus belle. Cette photo cligne autant de l'oeil au fétichisme qu'à l'argentique.

La seconde, c'est que même si lâches et bonhommes en apparence, de tels liens interdisent aux mains de se mouvoir le moins du monde sous peine de sévères coupures. Prisonnière de l'objectif, du subjectif, de l'appareil et du film, la modèle est sage comme une image.


* le lien étant mouvant, cette superbe photo est datée du 29 juin 2009 et pourra être retrouvée ainsi.

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Arlequinade

Rue Bricabrac, bdsm, arlequin
photo Red Charls

PRISE au piège comme un fauve, dans les filets d'un tourmenteur, elle a cessé de se débattre, et laisse la fine cordelette imprimer ses losanges réguliers.

La chair est faible et le cocon a raison de se tendresse.

Pourqu'elle soit pleinement arlequine, multicolore, il ne reste qu'à appeler la cravache à la rescousse, et de sa langue peinturer chaque losange précisément avec une intensité différente. Blanche la peau caressée, rose la peau pincée, rouge la cravachée, violette la mordue.

Ce qui est un voeu pieu puisqu'il suppose une précision d'enlumineur.
Mais ce serait tellement joli.
Ça vaudrait le(s) coup(s) d'essayer.

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Perdre pied

Rue Bricabrac, bdsm, tranquillité
photo Christian Marogg

Que cherchez-vous dans le bdsm ?

JE n'ai pas réfléchi. J'ai répondu, immédiatement, instinctivement.
La tranquillité !
C'est le mot. Au-delà de l'abandon, du lâcher-prise, du subspace (dont il faudra bien un jour se demander si ce n'est pas du bourrage de crâne de soumise ou de la légende urbaine de dominateur), de la jouissance, de la transe. La tranquillité. En toute simplicité.

Quand, et cela est arrivé suffisamment souvent dans ma vie (c'est à dire 5 ou 6 fois) pour que je pense que cela puisse encore arriver une 7e (et dernière ?), je rencontre un d'homme qui colle, aussi singulières soient nos relations (je n'ai jamais croisé deux fois le même type de d'homme, même si dans les grandes lignes, et je n'ai jamais reproduit un scénario type, même si...), je trouvais cette tranquillité. Celle d'un moi qui aurait oublié l'angoisse, le contrôle, l'inquiétude, le spleen. Celle d'un ça repu temporairement. Celle d'un surmoi aux abonnés absents.

Quiétude de me remettre entre ses mains, entre ses liens. La jouissance de mon corps devenait sienne. Mes mots (criés ou pleurés ou murmurés) étaient ceux qu'il avait envie que je dise et qui fusaient, ordonnés par ses impulsions, scandés par ses pulsions. Mes rires, mes soupirs, mes prières également.

Sérénité de voir mes pensées tourbillonner sans aucun sens, m'envoyant des images écarlates comme un soir de fête, déchirant de leur lumière bordélique mes yeux clos, tournoyant tant et plus que j'en perds la tête, tandis que mes sens s'affutent.

Calme sous la douleur qui me remplit, me nourrit, me surprend, m'attise, m'aiguise, qui m'aspire dans sa spirale vicieuse et délicieuse, que j'essaie d'apprivoiser, à la rencontre de quoi je vais, qui est immédiatement suivie d'une bouffée de volupté mouillée.

Lui appartenir ? Je ne sais pas. Je ne crois pas cela possible. Gardons raison. Mais ne plus m'appartenir, ça oui, j'en suis sûre. Redevenir ce que je n'ai jamais été et que je ne peux donc nommer. Ni enfant, ni animale, même si ça peut y ressembler.

Tranquille.
Enfin apaisée.
Jusqu'à ce que les flammes renaissent et réclament un feu plus infernal pour s'éteindre.

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L'attache et le moment (part 2)

Rue Bricabrac, bdsm, chaînes
photo Venive

ÊTRE attachée, c'est épuisant.
Je lutte contre ces liens qui m'empêchent de te toucher, de me toucher, de me mouvoir. Mais pas de m'émouvoir.
Je peste contre ces cordes qui me râpent, m'écorchent, m'obligent à me soumettre. Pourtant, elles sont mon bel alibi.
Je mords mon mors, mes dents sont devenues de lait, mes muscles sont courbatus, ma révolte ne gronde plus.
Je suis à bout, pas tabou et prête à tout.

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Cette époque me pique (au vif)

Rue Bricabrac, bdsm, lit

TOUTE occupée que je suis à chercher le lit à barreaux idéal, je néglige ce blogue. Et ça risque de continuer un moment, car je vais devoir penser à acquérir aussi un congélateur pour conserver quelques hymens de rechange, une jurisprudence salement ordre moral nous pend au nez.

L'avocat dit que la question n'est pas celle de la virginité, mais du mensonge. Les épouses vanilles dont les maris soumettent des malheureuses en loucedé, les maris benêts dont les régulières vont se faire quelques émotions fortes dans les bras musclés de mémètres partageurs, les futurs de quelques belles qui ont connu le rollercoaster du sm avant de se ranger des fouettures, les sages mères des enfants de soumis repentis revenus au conjuguo plan plan, tous ceux-là vont ils aussi pouvoir casser les liens sacrés (au contraire de ceux, profanes et jouissifs, tissés de chanvre) ?

Notre société de demi-sel penche dangereusement vers le missel. Je n'aime pas du tout cela.

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Lit à rêves

Rue Bricabrac, bdsm, lit à barreaux
photo MHK Annai

C'EST en voyant ce genre d'images que je sais pourquoi je tiens tellement à posséder un lit à barreaux, même si avec des poutres, ça fera très très donjon comme chambre à coucher.

Pour quiconque tutoie un peu le bdsm, ce genre de lit, ce lit de genre barbare, est la chose la plus érotique qui se puisse trouver. Même quand on y dort seul, il est doux d'agripper l'une des barres de métal, y laisser sa main et espérer les rêves orientés dont le laiton voudra bien se faire l'émissaire.

Si par hasard, un innocent vanille passe par ces draps, et qu'un foulard entortillé dans une volute attire son regard, il saura peut-être quoi en faire (l'une des options étant qu'il propose sa cravate pour que sef aire attacher l'autre bras, découvrant l'envie voluptueuse de se faire chevaucher sans défense, en pacha, potent mais impuissant, ce qui n'était pas mon idée initiale, mais c'est le jeu).

Mais si c'était toi, prévenu, imaginatif, marin malin, fer friendly, je frémirais comme jamais quand ta main se posera sur ma cheville. Je suspendrais mon pouls pour que cet instant si fragile, si ténu, s'étire et que chacun de mes sens s'en imprègne comme une éternité de suspens. Ensuite, ça ira vite, trop vite, et je louerais mon lit à barreaux.

Demain, je penserai au baldaquin. Pas tout à la fois. Faire durer le fantasme.

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Saint Va-t-en,'tain ! (au cul, les cœurs)

GRÂCE à la nouvelle égérie Dior la Garde des Sceaux la Ministre de la Justice Maîtresse Rachida, à qui sa meilleure amie d'enfance Cécilia a offert deux coeurs en or blanc et diamants croisés au bout d'un lien de cuir, et au site d'information de pointe (là, je ne suis pas ironique, avec rue89 et Mediapart, Bakchich fait partie des bonnes adresses) qui en rendait compte, j'ai appris que le bijoutier Dinh Van déclinait sa gamme cœurs en menottes, à l'identique.

Rue Bricabrac, bdsm, menottes, coeurs

Ce qui au terme d'une intense cogitation (est-il bien raisonnable de claquer 4 000 euros pour une paire de menottes ? Combien vaut la bague menottes martelées ? T'as pas fini de penser au fric ? Elle retourne quand à la bonne adresse de la place Vendôme, la Garde ?), j'en suis arrivée à un plus petit dénominateur en forme de raccourci saisissant

M(enottes) = C(œurs)
(on remarquera qu'à un puissance 2 près, je suis Einstein, pas moins.)

Ado, déjà, je ne supportais pas les cœurs. Je dormais sur le flanc droit parce qu'un entraîneur sportif (une sorte de Philippe Lucas light) m'avait dit quelques années auparavant qu'il ne fallait pas dormir à gauche, ce serait mauvais pour le cœur qu'on écrase (je pense que cette assertion ne repose sur rien, peut-être la sagesse populaire, mais plus de quarante ans après, je n'en ai jamais retrouvé trace). Je refusais tout pendentif en forme de muscle cardiaque, qu'il soit en verroterie ou en or. J'abhorrais sa cuculterie militante qui rejoignait au panthéon de la guimauve la médaille de Rosemonde Gérard (avec le moins en rubis) et les poupées de Peynet. Je collais, en toutes circonstances, des points sur les I et pas des cœurs. Avec le recul, j'aurais su dessiner, j'aurais volontiers mis des culs, mais côté cul, à part mes fantasmes déjà plus rudes et pink pivoine plutôt que rose bonbon, je n'étais pas encore super éveillée.

L'amour avec des cœurs ne m'a jamais bottée, le pied, je le préfère ailleurs et je le prends autrement. Celui plus vache, avec liens et cravache m'assommait nettement moins en me mettant pourtant K.O.
Les menottes, j'ai dit ici mille fois ce que j'en pensais, trop connoté, flicaille et compagnie. Mais aujourd'hui, elles seront à la fois synonyme et métaphore de toutes formes de liens, qu'ils soient de cuir, de fer, de chanvre ou de soie.

Je porte avec plaisir un cadenas au cou, au bout d'une fine et courte chaîne. Et pas une clef, parce que là encore, la clef est côté cœur, et le cadenas plus cul. La clef des songes, la clef de mon royaume... balivernes. Et puis la clef, je ne l'ai pas encore trouvée.

Il y a encore quelques semaines, j'aurais aimé ce collier, ce bracelet. Mais si, de tendance "coquine" (comme écrit sur le site bijoutier) en glissement de sens, M(enottes) = C(œurs), il va me falloir trouver des nouveaux signes qui flattent ma sexualité, me parlent d'amour, mais n'appartiennent pas à la récupération bourgeoise du SM. (Quoique, la bague stylisée ait du chien.)

(Pour celles et ceux qui y tiennent, on doit trouver à vil prix des bracelets, colliers, boucles d'oreilles menottes dans ces magasins cheaps à succursales multiples tels que "Claire" et autres.)

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Atame, encore et toujours (radotage)

Rue Bricabrac, bdsm, dédoublement
photo Yuri Dojc

J'AI l'impression d'être comme du mercure. Si je ne suis pas confinée, rassemblée, couvée, je m'éparpille, m'émiette, m'enfuis. Je tiens dans le creux de la main, pas entre deux doigts.
J'ai besoin d'un cadre, d'un écrin.
Il me faut les maux, bien sûr, mais les mots aussi. Les phrases sont comme des cordes et les verbes des menottes. Je peux t'écouter à genoux, mais si je n'entends rien, je me lève et je pars. Je ne sais pas deviner le désir. J'aime qu'il se dise. Pas qu'il se hurle ni se surligne, mais qu'il soit audible, un minimum.
Si tu ne m'attaches pas, tu m'abandonnes. C'est aussi simpliste que cela. Je ne supporte ni l'immobilité, ni la marche arrière. La seule régression que je supporte est celle qui me renvoie à un passé qui n'est même pas le mien, un avant-hier reptilien, un jadis animal doté de seuls réflexes.
Je suis une cérébrale qui ne veut plus penser.
Je suis une libertaire qui cherche un carcan.
Au bout d'une corde, j'irai au bout du monde.
Sous les coups, je ne fais plus qu'une.

(Mais la glu ne sert à rien.)

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À un fil

Rue Bricabrac, bdsm, fil
Photo Lovelypetal

ON m'a souvent attachée.
Solidement, avec des ceintures de judo ou du chanvre rugueux, écartelée extrêmement comme un X posé sur le flanc ou dans un croupeton obscène d'exposition. Même avec des chaînes si serrées qu'elles mordaient la peau.
D'autres fois, sans lien mais avec des mots secs, j'ai eu l'ordre de ne pas bouger, sans autre contrainte que la menace, jusqu'à ce que mes muscles en tremblent et que je ne sente même pas mon corps glisser comme une robe trop grande.

Il n'y avait pas de gaffer au sol pour vérifier que mes pieds étaient bien restés en place, pas de marque à la craie autour de mes doigts. Alors, on a dit que j'étais restée immobile, gentille fille obéissante, malgré les sanglots et les tressauts de mon corps enfiévré.

Je sais que j'ai bougé, et bien plus que d'un cheveu. Il faudra, une fois prochaine, m'attacher d'un de ces fils à coudre que l'on casse d'un coup sec pour le séparer de sa bobine d'attache, quand il ne se charge pas de rompre tout seul, dans l'action, entre l'étoffe et le bouton.
Pas besoin de serrer plus que de raison. Juste effleurer au plus près les poignets pour les enlacer à quelques mèches de cheveux, relier tendu chaque cheville aux pieds du lit, une fois la position imposée.

La correction terminée, la parole du fil, un rien de fil, un fil de lien, sera sans appel.

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L'oreille
Juke Boxabrac
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La peau
Présentation

presque moi
aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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Les mots
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