Ma fesse (pas vraiment) cachée
mercredi 11 mars 2009 / 3 grains de sel
mercredi 11 mars 2009 / 3 grains de sel
IL y a même une fille qui dort le dimanche aprème.
Allez, j'y retourne.
dimanche 28 septembre 2008 / 2 grains de sel
Un petit strip ? Totalement comic et pas tease du tout. Sur ce site qui joue à n'être pas kawaï alors qu'il est trognon tout plein, il y a une belle petite série de bd en quatre cases, dont celle-ci qui me semble tout à fait adaptée à nos jeux.
mercredi 13 septembre 2006 / 3 grains de sel
Les contes de fées n'étaient pas plus que cela ma tasse de thé.
Cendrillon, souillon au petit chausson ; la belle au bois dormant qui comate
en attendant que Monsieur Charmant la baise ; le petit chaperon rouge qui a
peur du loup... j'ai les bases mais pas le kif.
Pourtant, quand je vois ces sept (il y en a sûrement deux planqués
derrière) petits priapiques made in Lilliput qui joue du cordeau comme
s'ils n'avaient fait cela toute leur vie, le kiki (ils ont tellement l'allure
enfantine de babies cupidons descendus de quelque voûte coquine que ce mot un
peu bêta leur va bien) frétillant au
vent, les bras bien affairés,
hardi petit, je me dis que Blanche-Neige, finalement, surtout en version bondage
plutôt que pomme pourrie, c'est assez sympathique comme perspective d'avenir.
D'autres peintures sur corps toutes aussi friponnes se nichent dans l'alcôve de Stéphane Blanquet. On dirait du théâtre d'ombres, du Méliès, un rêve surréel.
lundi 27 mars 2006 / 5 grains de sel
À Angoulême, cette année, des mangaka ont feuille blanche pour performance. Certes, la place n'est pas aux hentai, tels que ceux que j'ai feuilletés, cherchant en vain bonheur au milieu de ces petits personnages certes ligotés et lacérés, mais pas une seconde excitants ou propres à nourrir une boîte à fantasmes prise dans les glaces. Je ne vois que ces yeux trop grands, ces nez absents, qui me parlent de Candy mais pas de pornographie. C'est un peu comme si on me collait en bouche une tétine en forme de bite.
Alors je cherche ma tasse de thé chez les auteurs que j'aime, et je tombe sur Varenne dont que j'ai connu avec Ardeur (dans Charlie Mensuel, au siècle dernier, à la fin des années soixante-dix) et que je n'ai jamais oublié. Plus tard, sans son frère, c'est dans Libération qu'il se laissera aller à l'érotisme, celui d'Erma Jaguar. Je ne connais pas La correction, mais rien que le titre, et le trait, à la foix anguleux et souple, me promettent des touffeurs, des rougeurs.
En cadeau, quelques esquisses.
vendredi 27 janvier 2006 / Rien à dire ?
J'ai raconté dans le Fessogramme comment le sm m'était venu,
en salle de classe, dans la grande maternelle, sous la férule (c'est
le cas de le dire) de Madame Doubs, Doux, Dou, bref, une pas douce institutrice
même si irréprochable avec moi.
C'est dire si je suis tombée tôt dans la marmite bdsm et sans
me poser de questions. Je m'en pose depuis, des tonnes, mais je n'y réponds
jamais. J'en pose à d'autres aussi, et j'attends souvent les réponses.
Alors dans ma fantasmathèque enfantinadolescente, il y a eu les Angélique,
bien sûr, les films de pirates et la Comtesse de Ségur en expurgé et
bibliothèque rose mais avec knout et Sophie, le mot fessée dans
le dictionnaire lu jusqu'à la lie et les captives des indiens attachées à des
poteaux de couleurs, totems sans tabous.
Mais parmi mes images de verges et de cordes, j'en avais omis une paire, les
Katzenjammerkids.
Je les ai retrouvé sur un coin de ouaibe, mes copains
dessinés Hans et Fritz (les héritiers de Max
und Moritz, autres sauvageons qui m'ont appris à secouer les arbres
pour faire tomber les hannetons, entre autres bêtises), des
chenapans, des garnements, Pam et Poum en français, qui se prenaient
des pafs et des schlacs à coup de tout ce qu'on veut, rouleau à pâtisserie
ou plat à barbe, main ouverte ou baguettes. Chaque bande dessinée
se terminait invariablement par une fessée.
Et moi qui oublie toujours la fin de tout, ces fessées là, je ne les ai jamais oubliées.
mercredi 19 octobre 2005 / Un grain de sel
Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.
Si vous souhaitez m'écrire, il suffit d'ouvrir votre courrielleur préféré, et d'adresser le tout à b.ricabrac chez free, en france. (On a le brouilleur de robot qu'on peut, logiquement, les humains devraient décoder.)