Figging

À défaut de trouver un aller simple pour Bételgeuse pour les congépés, je me promenais chez Sirius, et j'ai lu ça. U coup, je suis allée ici. Ce qui m'a envoyé .

Or donc, il est une pratique, prisée par nos amis d'outre-Manche du temps des châtiments corporels, empêchant parait-il le coupable de serrer les fesses pendant les coups de canne, nommée figging (depuis le money slavery, je suis prête à tout entendre). Laquelle, si vous avez sauté de liane en liane comme proposé ci-dessus, vous savez déjà qu'il s'agit de l'introduction d'un doigt (juste un doigt ?) de gingembre dans l'un ou l'autre des orifices à plaisir.

Le gingembre, en général, je m'en mets plein la bouche. En fines lamelles roses et vinaigrées à l'heure des sushis. Luxurieusement confites et caloriquement incorrectes au moment du dessert. En petits cubes préparés par Picard pour réveiller une salade de fruits rouges trop suave. En bonbons (coréens ?) qu'on trouve à Chinatown. Râpé partout ailleurs quand le palais m'en dit. En tisane, quand il fait froid. Si le gingembre était aphrodisiaque, je serais nymphomane.

Mais puisqu'on me promet des plaisirs nouveaux, je vais aller acheter une belle racine et munie de mon couteau d'office, en essayant de ne pas me couper le doigt, je vais en tailler un, de doigt en gingembre.

tags technorati :