Histoire d'O...mbre (Merci Bernard)
XXXB - FIles : Régénération !
(Tous les garçons ne s'appellent pas Bernard)
Ça commence à swinguer ! Chic !
mercredi 30 juillet 2008 / 6 grains de sel
XXXB - FIles : Régénération !
(Tous les garçons ne s'appellent pas Bernard)
Ça commence à swinguer ! Chic !
mercredi 30 juillet 2008 / 6 grains de sel
LORSQUE j'étais enfant, il y avait des blagues en série (comme les blagues de belges, d'ampoules, de blondes, de monsieur et madame...). C'était des devinettes qui commençaient invariablement par "Quel est le comble de ... ?".
La première que j'ai entendue, dans la cour de récré de mon lycée, en 6e, j'avais 10 ans, je m'en souviendrai toujours, était : "Quel est le comble de l'architecte ? Tirer des traits avec les règles de sa femme." Je suis rentrée à la maison, j'ai interrogé mon père (le détenteur du savoir), lequel après avoir consulté ma mère, a décidé de m'emmener chez le pédiatre pour que l'homme de l'art m'explique les choses de la vie, histoire (j'imagine) d'être sûr que cela soit fait de la manière la plus scientifique possible.
XXXB, toute à ses projets immobiliers nous donne le comble de la petite annonce : passer une petite annonce pour être sûre que la précédente petite annonce a été lue.
jeudi 24 juillet 2008 / Rien à dire ?
C'est sans la moindre malice que j'aime les lapsus, les miens comme ceux de mes interlocuteurs. Ils disent si bien la vérité. J'ignore si ce qui suit est lapsus ou faute d'orthographe (le contexte laisse planer un léger doute), mais je l'ai pris comme un de ces fourchages calami.
je suis un maître zen le fist et ce que je pratique le mieux car j'ai passer tout les secret en me fessant fister moi même, mais je ne me bloque pas dessus.
En effet, le fist, vaut mieux pas bloquer dessus, parce qu'ensuite, pour sortir travailler ou aller danser, c'est un peu encombrant.
dimanche 20 juillet 2008 / 4 grains de sel
TOUT en mangeant des gyoza certainement trop gras, je lisais les nouvelles du jour. Roselyne de la Santé met sur les rails un clip qui assorti d'autres mesures est supposé empêcher les jeunes gens de se murger à mort.
Sachant que la fraise tagada est hors-la-loi, l'herbe à nicot vouée aux gémonies, le pinard, ha non, pas le pif, faut pas décourager les électeurs producteurs, la jeannette qui fait rire réservée aux bataves, les centrales nucléaires qui fuient, ha non, queude, circulez, y a rien à voir, les manèges de fêtes à Neu-neu mortifères... sachant donc tous ces dangers quotidiens qui nous menacent et sur lesquels un gouvernement qui nous veut du bien légifère à tour d'articles, je me demandais, savourant ces divins gyoza qui étaient en train de me retirer sans aucun doute cinq ans et demi d'espérance de vie, si un jour, après deux ou trois affaires sordides genre un baron enlatexé ou une petite ouvrière en soubrette retrouvés morts, quelque MAM n'allait pas se décider à nous expliquer comment baiser droit et sans risques (et je ne parle pas de la capote).
Seraient alors bannis les jeux d'aiguilles, de fouets, de martinets autres qu'en daim velours, les talons trop haut, les fleurs trop enivrantes...
Peut-être que manger trop riche donne vraiment des cauchemars !
vendredi 18 juillet 2008 / 3 grains de sel
IL fait froid pour tout le monde (à quelques bouffées de chaleur près, comme si l'anticyclone des Acores nous faisait sa ménopause), et la brise n'a rien d'angélique, le vent serait plutôt à décorner les beufs. Un vent qui a dû arracher les lignes téléphoniques, pas de journal d'appels.
Pour la référence à Brassens, en effet, le temps ne fait rien à l'affaire et quand on brasse de l'air, on brasse de l'air.
Moi, depuis deux/trois jours, c'est Histoire de faussaires que je me sifflote intérieurement (je ne sais siffler qu'intérieurement, extérieusement, c'est juste pathétique).
Ici, sans petites annonces, j'attends que la tempête m'apporte autre chose que des feuilles de rosiers (j'ai failli dire de rose, avant d'éviter le double-sens) et du sable dans les yeux.
jeudi 10 juillet 2008 / 3 grains de sel
Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.
Si vous souhaitez m'écrire, il suffit d'ouvrir votre courrielleur préféré, et d'adresser le tout à b.ricabrac chez free, en france. (On a le brouilleur de robot qu'on peut, logiquement, les humains devraient décoder.)