Rue Bricabrac, bdsm, clown
D.R.

J'AI toujours, mais alors vraiment toujours, aussi loin qu'il m'en souvienne, haï les clowns, piètres pitres qui mieux que "Le Capital" mettaient en scène la lutte des classes.
Beurque.

Mais puisqu'il paraît que manger du clown, ou le sucer (cette seconde action étant une forme d'anthropophagie symbolique, passée sous les fourches caudines du désir et donc parfaitement socialisée et nettement plus acceptable et acceptée qu'un grosse bouchée de fesse fraîche), rend drôle, je vais m'y mettre avec assiduité. Et sans recracher, sinon plus de bénéfice.
Car ma mongolfière regonflée voguant par dessus le brouillard, ce qui me donne une longue vue, 2010, ça va pas être fendard.
Mais alors pas du tout.

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