Rue Bricabrac, bdsm, spanking

QU'IL fait chaud, déjà trop pour moi. À l'ombre et en wi-fi, plutôt que sur des sentiers ensoleillés, je traine de page en page, je m'entoile au rythme de maître Google.
Ici, John propose un stage. Pour ceux qui ne peuvent y aller, une minute de howto manier le fouet. Pour l'entraînement, je recommande l'un de ces sièges (délicieusement surnommés en honneur de la famille Jackson, même si Germaine n'est pas encore en vue), aucun risque de le manquer. Mais non, il n'est pas gros, il est "rond".
Puisqu'on est dans les vidéos, une autre sur une performance bruxelloise. C'est nettement plus décoincé chez les Gelbes. Étonnant que la France et sa capitale soient aussi peu friandes du sm qui se montre.
Alors passe une envie fugace d'être à San Francisco, d'arriver au bureau le casual friday en tisheurte rouge pétard, de participer à la marche (fessier battu et cravaches battantes) de Folsom Fair, en toute impudeur et en cuir brillant.

Là-bas aussi, en septembre, il fera chaud, mais heureusement, il y a les vents de la baie. Pour le moment, désir de fermer les volets, et de n'avoir que les martinets comme ventilateurs, et ensuite, peau cuisante contre un ventre dur.
Si bougies il doit y avoir, ce seront celles de massage (la paraffine pour vanilles), mais quid de la cire devenue huile ? Fige-t-elle si on ne la masse pas ? Il fait décidément trop chaud pour des brûlures.
Alternative... Se prendre pour une femme fontaine, un glaçon dans le con, et le désaltérer, sa bouche à la source.
Source chaude, car le recto aussi se fouette et se froisse sans jamais s'offusquer.

Trop assommée pour faire, juste bonne à rêvasser. Du rêve tiède, ni coruscant, ni adamantin. Du rêve de premières chaleurs.

À moins de chariboter en lisant les tweets pas vraiment tease de Dita la strippeuse.

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