JE suis bien trop mécréante pour que cela m'effleure. J'avais déjà hasardé une vague opinion sur la ressemblance, dans ses récits et autofictions, entre la soumise et la mystique.

J'ai vu Dominique nique nique aujourd'hui. Nonnette pas encore Soeur Sourire, une jeune fille qui se cherche rejoint les Dominicaines. Elle entre dans sa cellule et sur le haut de l'armoire, sommeille un martinet, discipline moderne (je ne sais pas quand le Clergé décida de supprimer cet instrument d'auto-flagellation, s'apercevant que l'extase mystique était en fait un très profane et trivial orgasme et si au début des années soixante, la future chanteuse naïve aurait pu s'en servir).

D'un tempérament volcanique, la novice tient tête à la Supérieure, mange en dehors des heures prescrites et se retrouve dans une belle scène de l'imagerie bdsm : mains liées au dos, en chemise sous la pluie, à genoux sur la pierre et interdite d'intérieur tant qu'elle n'aura pas picoré sa pitance à même une assiette au sol.

Rue Bricabrac, bdsm, insoumission
D.R. Océans Films

Culte : 1 - Cul : 0 (évidemment en ce qui me concerne, histoire de désamorcer les commentaires du style "chez moi ça marche").

À suivre