Rue Bricabrac

Le poids du vraiment

Rue Bricabrac, bdsm, masochisme
Marian Wildcat

Tu es vraiment masochiste ?

NON, je simule.



Pourquoi je ne suis pas soumise (2)

JE suis bien trop mécréante pour que cela m'effleure. J'avais déjà hasardé une vague opinion sur la ressemblance, dans ses récits et autofictions, entre la soumise et la mystique.

J'ai vu Dominique nique nique aujourd'hui. Nonnette pas encore Soeur Sourire, une jeune fille qui se cherche rejoint les Dominicaines. Elle entre dans sa cellule et sur le haut de l'armoire, sommeille un martinet, discipline moderne (je ne sais pas quand le Clergé décida de supprimer cet instrument d'auto-flagellation, s'apercevant que l'extase mystique était en fait un très profane et trivial orgasme et si au début des années soixante, la future chanteuse naïve aurait pu s'en servir).

D'un tempérament volcanique, la novice tient tête à la Supérieure, mange en dehors des heures prescrites et se retrouve dans une belle scène de l'imagerie bdsm : mains liées au dos, en chemise sous la pluie, à genoux sur la pierre et interdite d'intérieur tant qu'elle n'aura pas picoré sa pitance à même une assiette au sol.

Rue Bricabrac, bdsm, insoumission
D.R. Océans Films

Culte : 1 - Cul : 0 (évidemment en ce qui me concerne, histoire de désamorcer les commentaires du style "chez moi ça marche").

À suivre



Pourquoi je ne suis pas soumise (1)

Rue Bricabrac, bdsm, insoumission
photo Crowgirl66

OUI, je généralise. Oui, je tire la réponse par les cheveux. Oui, j'exagère.
Et alors ? Je me comprends.
J'ai plus de mal à me faire comprendre.

En lisant attentivement cet article de Libération hier, en repensant aux expériences de Milgram, je trouve une piste de mon rejet total de l'idée de soumission, quand bien même elle serait un jeu. Alors qu'elle n'est qu'un jeu.

L'autorité, avec ou sans majuscule (déjà l'écrire avec une majuscule m'écorche), me fait vomir. Je ne la comprenais pas à 5 ans quand j'ai intégré le système scolaire, pas plus que je ne pouvais encadrer les 10 commandements. J'ai picoré avec plaisir les 7 péchés capitaux que je trouvais capiteux et je crois que je n'aurais même pas pu tenir mes 3 jours (qui n'en duraient qu'un et demi) si j'avais été un homme.

L'autorité, qu'elle soit haute, autre, sacrée ou alien a toujours pour moi les traits d'un monstre muet et aveugle, d'une hydre à la tentation totalitaire. L'histoire m'a appris à m'en méfier. L'école aussi.

Je n'accepte pas qu'on me tourmente, je l'exige. Avec beaucoup de bémols à la clef, parce que j'aime avoir l'impression que l'on m'offre ces attentions.

À suivre

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De la pétillance

COMMENT diantre rester pétillante sous le fouet après avoir lu cela ?

Le batteur à champagne est, pour sa part, un instrument de torture qui détruit en 30 secondes le travail de 3 ans et ruine les qualités du vin. Voici ce que dit avec beaucoup de pertinence le Larousse des vins à ce sujet : Champagne (batteur à), instrument barbare né dans l'esprit inventif d'un ennemi du champagne. Tenter de supprimer les bulles légères de ce vin spirituel revient à essayer de lui enlever tout son esprit et son élégance. Le champagne ainsi maltraité prend immédiatement un goût d'évent désagréable. Le breuvage n'est plus du champagne et n'est pas du vin; ce n'est plus qu'une tisane qui désole le palais et l'estomac.

Rue Bricabrac, bdsm, champagne

Le champagne n'est pas un masochiste. Il n'aime à être ni battu, ni fouetté, et tous les connaisseurs sans exception condamnent les batteurs et fouets dont il est menacé. Il semble que l'origine de ces instruments remonte aux Années folles [...] En Belgique, on appelle le batteur à champagne le... bâton des putains, et il est vrai que certaines professionnelles s'en servent régulièrement. Et comble de l'horreur, on a vu un jour une jeune femme battre son champagne avec... une de ses épingles à cheveux!

Pour les amateurs de champagne et de tradition, c'est ici.

Merci à Oxtiern, commentateur de qualité et chromatophile érudit de m'avoir aiguillée vers ces mossers.

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Yoyo

Rue Bricabrac, bdsm, masturbation
photo ṪṦϘ

M*** s'est approché de mon sexe qu'il a dévoré jusqu'à ce que sa soif s'étanche et que j'arrive à l'orée de l'orgasme.
Là, il s'est éloigné, à posé sa joue contre ma cuisse, a proféré des douces menaces tout en m'empêchant de serrer les jambes, ou de glisser une main.

Quand l'idée de l'orgasme s'est retirée suffisamment loin, il a recommencé le même jeu, mon plaisir à venir comme un yoyo.

Fort - Da.

Pour me faire monter plus vite, il torturait mes seins tout en continuant de jouer de sa langue entre mes lèvres.

Fort - Da

Au bout d'un temps, je ne sais le compter, j'étais languide, pantelante, désarmée. Une crêpe... qu'il a retournée vivement, sèchement. Avec les mêmes conscience et constance, il a fouetté mon verso.

Fort - Oui

Les coups de plus en forts m'ont plaquée contre le matelas, et ces frottements pourtant si légers sur mon sexe agacé m'ont procuré au centuple le plaisir qu'il m'avait refusé.

Fort - Oui



Perdre pied

Rue Bricabrac, bdsm, tranquillité
photo Christian Marogg

Que cherchez-vous dans le bdsm ?

JE n'ai pas réfléchi. J'ai répondu, immédiatement, instinctivement.
La tranquillité !
C'est le mot. Au-delà de l'abandon, du lâcher-prise, du subspace (dont il faudra bien un jour se demander si ce n'est pas du bourrage de crâne de soumise ou de la légende urbaine de dominateur), de la jouissance, de la transe. La tranquillité. En toute simplicité.

Quand, et cela est arrivé suffisamment souvent dans ma vie (c'est à dire 5 ou 6 fois) pour que je pense que cela puisse encore arriver une 7e (et dernière ?), je rencontre un d'homme qui colle, aussi singulières soient nos relations (je n'ai jamais croisé deux fois le même type de d'homme, même si dans les grandes lignes, et je n'ai jamais reproduit un scénario type, même si...), je trouvais cette tranquillité. Celle d'un moi qui aurait oublié l'angoisse, le contrôle, l'inquiétude, le spleen. Celle d'un ça repu temporairement. Celle d'un surmoi aux abonnés absents.

Quiétude de me remettre entre ses mains, entre ses liens. La jouissance de mon corps devenait sienne. Mes mots (criés ou pleurés ou murmurés) étaient ceux qu'il avait envie que je dise et qui fusaient, ordonnés par ses impulsions, scandés par ses pulsions. Mes rires, mes soupirs, mes prières également.

Sérénité de voir mes pensées tourbillonner sans aucun sens, m'envoyant des images écarlates comme un soir de fête, déchirant de leur lumière bordélique mes yeux clos, tournoyant tant et plus que j'en perds la tête, tandis que mes sens s'affutent.

Calme sous la douleur qui me remplit, me nourrit, me surprend, m'attise, m'aiguise, qui m'aspire dans sa spirale vicieuse et délicieuse, que j'essaie d'apprivoiser, à la rencontre de quoi je vais, qui est immédiatement suivie d'une bouffée de volupté mouillée.

Lui appartenir ? Je ne sais pas. Je ne crois pas cela possible. Gardons raison. Mais ne plus m'appartenir, ça oui, j'en suis sûre. Redevenir ce que je n'ai jamais été et que je ne peux donc nommer. Ni enfant, ni animale, même si ça peut y ressembler.

Tranquille.
Enfin apaisée.
Jusqu'à ce que les flammes renaissent et réclament un feu plus infernal pour s'éteindre.

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Pluton m'emporte

Rue Bricabrac, bdsm, symbole
Détail d'une statue de Bernini dit "Le Bernin"

TRÈS rarement, je trouve une image qui symbolise ma vision du sm. Sans qu'il y ait besoin de mots. Avec ce qu'il faut d'électricité érotique.

En voici une. On peut admirer la statue en pied et en marbre au palais Borghese. Mais ce détail, cet incroyable et violent réalisme qui fait passer la pierre pour la chair, cette longue main de Pluton dans (plus que sur) la cuisse et le flanc de Proserpine au moment de l'enlèvement, me bouleverse.

Syndrome de Stendhal. Sans détour. Après des heures de fascination.

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La vie (sexuelle) en rose

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En lisant les très intéressantes considérations colorifères de Oxtiern, en commentaires des Hématomes crochus, je tente de cerner une nouvelle couleur, quelque part entre le barbapapa et le barbie, le rose sextoy. Dit aussi rose branlette.

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SM à votre service

Rue Bricabrac, bdsm, sm

En bas de chez moi, précisément, le service express qu'on avait rêvé.
Si seulement ce n'était pas une société de désenfumage.

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Neuf de Pâque(s)

Rue Bricabrac, bdsm, neuf
photo AlpenaMi

LE seul neuf qu'en ce jour de cloches (dont la plus grosse se pseudonymise Benito) je suis prête à quêter, c'est le nombre de fessées, mon péché mignon, qui ferait ma fête, maintenant que je suis de retour aux affaires.

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Histoire d'O...nanisme (good vibes)

Rue Bricabrac, bdsm, masturbation
Fauteuil Denis D. Burlet

6 h 37
La pleine lune éclaire la pièce, je me réveille d'un rêve aussitôt oublié, l'orgasme au bord des lèvres, encore palpitantes.

Je me lève, pas somnambule non, mais presque. Je fonce dans le dressing, fouille dans les sacs et dans un demi-sommeil. Non, pas le cône, pas le canard, trop compliqué de remettre les piles, il faut un tournevis, pas le lapin non plus, je ne veux rien introduire, voilà, bon dernier, celui que je cherchais. Puis les piles, dans le bureau, ouf, il y en a deux dans le chargeur.

6 h 42
La lune s'apprête à ficher le camp de mon horizon. Vite un fantasme. Non, pas lui, je n'en veux plus, même en virtuel. Des hommes sans traits, c'est plus simple, et ce fauteuil, qui cache les reins, mais présente fesses et omoplates. L'un fouette, l'autre suce. Aucun intérêt, pas de sophistication. Juste du résultat, de l'efficacité.

Une fois. Deux fois. Trois fois.

7 h 07
Il fait jour. Je peux me rendormir. Décontractée, fantômes chassés, clitoris endolori. Lui et seulement lui.

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Que de la marque !

Rue Bricabrac, bdsm, marques

FINALEMENT, il n'y a pas grande différence entre les jeunes qui ne jurent que par les marques, Béhème, iPod, Adidas, Chanel, Nutella... et les fouetté(e)s qui regardent les leurs aussi de très très près.

Viendra-t-il le temps où l'on exigera le rail parfait d'une canne made in England, le cinglon d'une cravache Hermès, les pinçons d'un chat Spartacus et la lacération d'un fouet australien fait main ? Et dans les clubs SM, comme dans les clubs tout court, les essemistas se toiseront, reconnaissant du premier coup d'oeil la marque d'un martinet en skaï tout comme à quelques lieues de là, une moue s'avance à la vue d'un Gucci de l'an passé.

(mondieumondieumondieu)

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La fabrique d'oxymorons

Rue Bricabrac, bdsm, féministes

J'ai baisé toutes les féministes de Paris. Elles se sont soumises, et le lendemain, elles se sentaient tellement plus fortes.

TENTÉE un moment de retrouver les sistas sur fessebouc ou de faire un tour à la Librairie des Femmes pour réaliser une enquête précise auprès des - nombreuses - intéressées, j'ai finalement décidé de m'en tenir à mon nombril, as usual, ce qui est moins fatigant à défaut d'être plus intéressant. Puisque je suis féministe, parisienne et qu'il m'a baisée.

Quel qu'ait été mon degré de conscience et d'acceptation de mon masochisme, quel qu'ait été celui qui "m'a baisée" (par là entendre partagé avec moi les pratiques du bdsm puisque telle est ma sexualité), je ne me suis jamais sentie plus forte, ni plus libre, ni plus belle, ni plus fière.
Les chaînes de la liberté, ce n'est décidément pas ma came. Je peux pourtant comprendre ce renoncement, cette démission, qu'ont en commun les nonnes et les kajira, cet acte de se subsumer volontairement, en toute conscience à un être (via une communauté pour les premières). C'est la plus belle solution de facilité face au libre arbitre et à l'existentialisme.
Je ne suis pas masochiste pour toucher le fond le soir et me la péter wonderwoman le matin. Je suis rigoureusement la même ligotée à un fauteuil à rougir sous les coups ou assise sur ce même fauteuil, à faire une conférence.

Dans le meilleur des cas, j'ai joui, ce qui m'a mise de bonne humeur pour les heures qui suivent.



Plug and Play

Rue Bricabrac, bdsm, godemichet

AVEC M***, mon diablotin préféré, nous partons souvent en live à partir d'un rien, surenchérissant dans la déconne sans le moindre complexe.

L'autre soir, avisant un gode monté sur ballon, ou sur maximonocouille, je m'empresse de quérir son avis éclairé et décalé. Nous tombons rapidement d'accord. Soit le ballon est trop petit, soit le gode trop gros, mais plutôt le ballon, et on ne voit pas bien le plaisir de l'usage qui promet plus d'acrobaties dangereuses que de plaisir immédiat. (À noter que le machin est présenté dans la rubrique "godes realistic" - insultant ainsi à la fois le français et l'anglais - et que le modèle masculin, donc anal, est en promo.) Malgré une notice aussi tentatrice et menteuse que celles qui accompagnent les crèmes anti-rides.

À la descente, la souplesse du ballon vous accueille pour mieux vous faire rebondir et osciller au rythme de vos hanches.

Si descente il y a, c'est qu'il y a eu montée, donc un minimum de gymnastique, je lui suggère que ce même gode (ou une version 8 pouces pour nous rappeler ce fatidique fantasme masculin de la perfection pénienne) sur un très gros ballon pourrait inaugurer un nouveau mode de gym douce : le Pilates-Sutra. Quitte à jongler pour trouver un équilibre sur une bite rebondissante, autant lui trouver un effet de bord. Tu jouis, et en plus, c'est bon pour ta colonne. Sachant que les ballons Pilates peuvent aussi faire des sièges de bureau, les tensions que subissent la plupart des salariés en ce moment pourraient trouver quelque réconfort.

M*** qui est plus branché sur les jeux d'enfant que moi qui n'ai pas eu envie de repeupler le monde, hilare, imagine à son tour une customisation du ballon sauteur (chez Nature et Découvertes) interdite aux moins de 18 ans. Il ne le savait pas, mais une autre, Miss Cyberdoll alias la subversive France Cadet, l'avait déjà fait, au nom de l'art.

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installation Happy Hoppers de France Cadet

Maintenant, au nom du cochon, on peut se fabriquer le sien !



Hématomes crochus

Rue Bricabrac, bdsm, bleus

IL n'aime pas le bleu, ou le bleu ne l'aime pas, ou les deux. En tube ou en poudre.

De ses dents dans ma chair complaisante et abondante, de ses doigts en crabe sur mes tétons, avec insistance, persévérance, il me fait des noirs.
Qu'on appelle bleus.
Et qui ne sont ni noirs ni bleus.

(J'ai cherché, il n'y a pas de belles photos d'hématomes, pour employer la terminologie dépoétisée de la médecine. Il en a de superbes de femmes fouettées parfois avec une cruauté écarlate, mais pas de bleus. Elles ressemblent toutes à des pièces à conviction sur le bureau d'un commissaire.)

J'ai souvent aimé être (ou imaginer être) une toile sur laquelle on écrirait ou peindrait. C'est P***, le premier du nom (du moins dans ma vie sexuelle) qui m'a appris à aimer les marques tant il les aimait lui-même. Je l'ai rencontré à la sortie d'une relation avec H*** qui m'en laissait tellement qu'elles mettaient une semaine à passer, que j'avais dû acheter un maillot de bain à petites jambettes pour continuer à nager sans jouer les exhibs. Ces marques alors me gênaient, témoins de ma condition, que je n'assumais pas encore totalement, tellement en fracture avec ce que je pensais. P*** avait eu une manière de parler de ces marques, de les caresser, de les aimer, de chercher à en faire de belles que j'acceptais ses coups avec la boucle de la ceinture (de sa main, celles-ci n'étaient pas aussi féroces qu'on aurait pu croire). Il ne trouvait pas la boucle de ceinture sexy, juste les marques qu'elles laissaient. Et je ne me suis jamais sentie maltraitée par ces coups-là.
Il ne s'agissait pas d'un concours d'intensité, mais d'esthétique. Si l'on peut dire.

Il a mordu, aussi fort que possible, aussi longtemps que tenable. Et ailleurs. Encore ailleurs. Sans doute par là-bas aussi.

Je ne me suis pas regardée, je me suis endormie.

Le lendemain, surprise. Mon corps, qui sait si bien somatiser, qui déclenche les maux les plus baroques sans autre forme de procès, m'avait réservé une nouveauté. J'ai dans le haut du bras gauche (et du droit aussi, mais dans une moindre mesure) un "noir" qui m'interdit de dévêtir mes bras. Je ne l'ai pas vu tout de suite, ou plutôt, je ne l'ai pas senti. C'est noir, grand, moche, violent. Mais ça ne fait pas mal. Il faut appuyer très fort pour sentir un rien. Si ça se trouve, c'est l'appui qui fait ce petit mal. J'en ai d'ailleurs deux autres dans le dos, tout aussi insensibles. J'ai eu bêtement mal pendant l'action, désagréablement, mais là, rien. Nib. Macache bono.
Je me souviens que le lendemain, le surlendemain, et encore un ou deux jours par dessus, après certaines nuits de pleine lune et de chaleur rousse, le simple fait de porter un pull ravivait souvenirs et douleurs exquises, et m'asseoir était une douce torture.

J'écoute ce que me raconte mon corps. Et je cherche aussi une paire de manches pour demain soir. Parce que là, ça ne ressemble vraiment pas à la compil Tom of Finland de chez Taschen qui me serait tombée dessus, trop grande qu'elle était pour la Billy de base. Un prothésiste dentaire pourrait même en tirer deux gouttières sans avoir besoin du bonhomme. Juste le bleu. Noir.

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L'oreille
Juke Boxabrac
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La peau
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presque moi
aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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