Rue Bricabrac, bdsm, parano

JE ne vois pas pourquoi, alors que les magasins sont ouverts et achalandés ce dimanche, je ne reparlerai pas de la crise. Le Times présente comme une panacée la french maid, celle qui fait tellement fantasmer les Anglais : "Bend over, Fifi !" (dans les fantasmes des Anglais adeptes de la discipline domestique au sens ancillaire, la petite bonne frenchie s'appelle de préférence Fifi). De quoi devenir vénale ? Non, ce n'est pas le fond de l'article. Ce sont des propos de Laurent Wauquiez sur les emplois de service avec super discount sur les impôts, tenus avant l'arrivée de l'arrogant sinistre de la "Relance" (si j'en avais, je me les boufferais). Et puis à mi-article, on apprend que la femme de ménage d'aujourd'hui ne porte plus la petite robe noire, le tablier blanc et le plumeau. Pour Fifi, il faudra continuer d'aller dans les urinoirs des pubs, elle prend la position contre quelques dizaines de £.

À défaut de porter le corset sévèrement lacé dans le dos, celui-ci ne demande qu'à se pencher vers l'avant ("Bend over, Fifi", again) ou à lever le pied, et satisfait mon goût pour les grolles oversized, vélocipède oblige.
En revanche, je ne suis pas sûre que le dessin du vibromasseur Touché™ (marque qui aime le rose et le mauve plus que les forains des stands à guimauve, qui a collé un rasoir dans un vibro, et une couronne sur un autre, ces Hollandais fument vraiment du bon gazon) apporte quelque plaisir supplémentaire en chassant sur les terres du laçage tous azimuts dont Chantal Thomass fait son miel.

De la canne à sucre dont elle a fait son nom, on garde la canne et quelques breloques. Pour annoncer la couleur et la pliure, tout est bon. Je l'aime chaud, au cul. Nobody's perfect, surtout pas moi. J'ai trop lu les liaisons dangereuses pour me contenter d'un missionnaire et puis dodo.