Rue Bricabrac, bdsm, perles
Digital DI

EN principe, les commentaires sont comme neufs et désormais, sauf s'il reste encore des effets de bord de mes tentatives de remettre ce blogue en état de marche, chacun peut laisser son grain de sel sans page blanche, essais pas forcément transformés et autres capcha désagréables.

Il y a bien un autre anti-spam en place qui fera sûrement des siennes... N'hésitez pas à m'écrire si des grains de sel récalcitrants vous font monter la moutarde au nez !

Ce qui me dispense de délirer sur les dernières perles d'un été sur la pente finale, malgré le vrai talent d'un suppositoire volontaire pour me travailler analement avant de m'asperger de son sperme abondant qui gicle très fort et loin ou de celui qui se demandait s'il ne risquait pas de faire du mal à sa soumise qui réclamait toujours plus de douleurs et voulait être suspendue par les seins alors qu'elle pèse 60 kilos.

Quant à l'amoureuse audacieuse qui fait richement rimer yeux perçants avec chat persan (la poésie m'insupporte, à de très rares exceptions près), il faudrait qu'elle sache que le chat, particulièrement le persan qui compte-tenu de son nez quasi-inexistant a les canaux lacrymaux toujours embouteillés, n'a pas le regard perçant du tout. Le chat est presbyte. Et daltonien. Mais il voit très bien la nuit, quand les humains peuvent seulement voir la lumière dans ses yeux, mais pas son regard.

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