Rue Bricabrac

P***rénom

IL y a dans ma vie un prénom masculin qui revient sans cesse. Amants (ex), amis (toujours), percepteur (mais oui !), je m'amuse de sa présence. Ils ont tous des surnoms, seul moyen lorsque j'en parle de les différencier aux yeux, aux oreilles plutôt, des autres.

Je me plais au milieu de tous ces P***, les anciens qui s'estompent du paysage, à mon regret certains jours, les fidèles qui tiennent bon la rampe et dont le sourire m'éclaire, les nouveaux que je croise fugitivement et dont je prononce le prénom avec toujours le même plaisir, comme un refrain bienfaisant.

Voilà qu'il me rejoint encoreà travers deux objets très différents, glanés en faisant les courses, qui ont la couleur en commun. Moralité : les P*** sont très verts.

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Le fauteuil n'a hélas pas sa place chez moi, malgré son sympathique côté sens dessus-dessous, quant à la chenille vibrante, j'ai sa cousine en magasin, rose et incurvée. Les P*** sont de sortie.

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La corde au cou

Rue Bricabrac, bdsm, meetic
photo Paul Alexander-Alt Images

CETTE image me fascine.

Je me demande pourquoi. Je ne supporte pas plus les cols roulés qu'une main sur ma gorge. Parfois, je suis sur le point d'arracher mon collier, une chaîne et son charm made in Tiffany's.

En la regardant, je sens le contact râpeux de la corde.

Je passe ma main sur mon cou, caressante pour l'adoucir. Je suis étonnée de ne pas sentir sous mes doigts l'empreinte du chanvre dont l'odeur brute m'envahit.

Je pense aux femmes dites girafes qui m'inquiétaient quand j'étais enfant.

Ce n'est pas un livre d'ethnologie là, ni l'exploitation touristique d'une tribu, mais une image fetish. Doublement. Contrainte, déformation. Dérangeante, attirante.

Accepter de souffrir pour l'art.
L'art comme jouissance.

Le bel alibi, aussi. (Cette bouche pulpeuse si sereine.)

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La nique à meetic™

Rue Bricabrac, bdsm, meetic

UN fauve de mes amis me propose, il y a une quinzaine, de profiter d'une invitation gratuite pour the site de rencontre. Je ne vois pas bien quoi y faire, ma recherche est spécifique, et hors du ghetto de Sadosie, les mots maso, jouissance, cul, sont prohibés.
Il me convainc d'y aller et de ruser avec la modération.

Je débarque donc, et en bonne fille, je concocte une annonce orientée, mais pas explicite, je remplis "ma fiche" et je vais me promener. Première surprise, je reconnais un nombre significatif de copains et de collègues. Première pas surprise, à peine inscrite que j'apprenais qu'un SirStephen* en mal de O avait "flashé" sur ma fiche.
(Petit détail pratique, quand bien même on ne flasherait pas sur quelqu'un, ce qui signifie l'action volontaire de cliquer sur l'icône idoine, celui-ci est informé que telle personne a visité son profil.)
Les SirStephen, tout de même... l'oeil de fer dans un gant d'aigle.

Entre tous ces gens qui cherchent invariablement le grand amour, parfois avec une sincérité désarmante, souvent avec une hypocrisie à peine masquée, seuls deux (dans la tranche d'âge et la région que j'avais choisi de parcourir) , l'un direct dans le pseudo, l'autre en appelant à la rescousse Le lien de Vanessa Duriès et autres ouvrages dédiés, affichaient la couleur sm.
D'autres, et c'est là la deuxième surprise baise cool, reconnus par leur photo, étaient d'un vanille doubleplus. Au moins.
C'est ainsi que SadeHard* sur un site spécialisé était devenu Bisounours_743* chez le mythique site, tandis qu'AmoursCrades* réapparaissait métamorphosé en CalinJasmin*.

J'ignore tout ou presque de ces hommes, je ne sais s'ils ont, comme le suggérait un ami, plusieurs facettes (une vanille pour la vie, une soumise pour la sodomie), ou bien si, misère sexuelle qui ne s'arrange pas au XXIe siècle, soit dit en passant, ils cherchent partout où ils peuvent, accréditant ma théorie des sites spécialisés hantés par des mecs même pas plus machos que la moyenne, mais qui se disent que pour une pipe gratos, le sm, ça peut être payant.
Tu vas la bouffer, ma queue, chienne, et que ça saute. Nooooooon, pas avec les deeeeeents !!!!!

* Les pseudonymes ont été changés afin de garantir l'anonymat des intéressés.

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La route du sel est réparée

Rue Bricabrac, bdsm, perles
Digital DI

EN principe, les commentaires sont comme neufs et désormais, sauf s'il reste encore des effets de bord de mes tentatives de remettre ce blogue en état de marche, chacun peut laisser son grain de sel sans page blanche, essais pas forcément transformés et autres capcha désagréables.

Il y a bien un autre anti-spam en place qui fera sûrement des siennes... N'hésitez pas à m'écrire si des grains de sel récalcitrants vous font monter la moutarde au nez !

Ce qui me dispense de délirer sur les dernières perles d'un été sur la pente finale, malgré le vrai talent d'un suppositoire volontaire pour me travailler analement avant de m'asperger de son sperme abondant qui gicle très fort et loin ou de celui qui se demandait s'il ne risquait pas de faire du mal à sa soumise qui réclamait toujours plus de douleurs et voulait être suspendue par les seins alors qu'elle pèse 60 kilos.

Quant à l'amoureuse audacieuse qui fait richement rimer yeux perçants avec chat persan (la poésie m'insupporte, à de très rares exceptions près), il faudrait qu'elle sache que le chat, particulièrement le persan qui compte-tenu de son nez quasi-inexistant a les canaux lacrymaux toujours embouteillés, n'a pas le regard perçant du tout. Le chat est presbyte. Et daltonien. Mais il voit très bien la nuit, quand les humains peuvent seulement voir la lumière dans ses yeux, mais pas son regard.

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Trop de la balle !

Rue Bricabrac, bdsm, ballons, fesses
photo Erdewerde

DU dragée à la cerise, de courbes en rondeurs, du pneumastique à l'élastique, de tam-tam en courroies, voilà qui donne envie de confier ses ballons à des mains joueuses et expertes, et aussi dures pour colorier, douces pour ne pas abimer, métronomées pour donner le tempo, rythmées pour produire de la musique, sportives pour les services volées, audacieuses pour jouer à plus qu'à la balle, investigatrices pour n'avoir pas peur des failles, rebondissantes pour remettre cela, plébéiennes pour froisser, peintresses pour talocher, boulangères pour pétrir, osées pour aller de l'avant, étrangères pour dépasser les frontières, nouvelles pour aborder l'automne avec des couleurs rousses.

Entre autres.



Petite perle cinématographique, en passant

LES perles, il y en a aussi au cinéma. Hier, la série B à gros budget de Mathieu Kassovitz a été relâché sur les écrans, et l'inanité du film fait drôlement regretter les bons gros navets intergalactiques tel ce Flash Gordon de 1980 (l'avantage du navet est qu'il ne bouge pas, mauvais il est né, mauvais il reste, sans prendre la moindre ride, et en prime, on peut se tordre).

La table de torture sur laquelle Ornella Muti (à la sensualité souveraine, ici comme ailleurs) subit le fouet m'a fait encore plus rêver que tous les grands mâts des films de pirates, et sa tenue en lycra écarlate est devenue l'un de mes fetish, au même titre que les robes à tournure.

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Les perles de l'été (7)

Rue Bricabrac, bdsm, chiennes
D.R.

LE Prince Fessant étant toujours aux abonnés absents en raison de congépés ou de burn-out, je continue d'enfiler de la verroterie glanée ici et là, mais surtout là.

si tu es vraiment une chienne: 06 XX XX XX XX
domixxxx presente-toi cruement

Je lui ai illico répondu d'un terriblement spirituel (je me demande où je vais chercher tant de pétillante créativité) :

Ouah ouah

Il a pris cela pour une approbation. Je ne sais plus ce qu'il a dit comme énormité, sans doute voulait-il des précisions sur ma chiennerie ou mon tour de cou... J'avais déjà filé.

Quel beau spécimen ! Un mémètre à poil dur dans une liquette de popeline qui attend sa chienne-chienne à oualpé pour le sucer jusqu'à la dernière goutte. Il rêve de laisse, de collier, de gamelle, de cul en l'air, de chaleurs sur son doigt brûlant. Son site préféré, c'est Wanimo plutôt que Demonia.

Je me souviens, quand avec mon amie C***, on attrapait des hoquets de fou rire à se moquer de cette engeance, les mémètres autant que les chiennes. On commençait invariablement nos courriels et coups de fil par un ouah ouah sonore et bien senti, et en guise d'au revoir, on se gratifiait de quelque "te prends pas les pieds dans ta laisse". Ça nous amusait comme des gamines. Notre méchanceté n'allait pas plus loin.
Quand je lis des annonces ou des messages à des chiennes adressées, recherchées, espérées, je me demande qui a commencé. Le mec ou la poulette ? Le chasseur ou la levrette ? Les responsabilités sont comme d'habitude partagées*, les hommes qui pensent qu'ils sont dans le move quand ils prennent la métaphore pour parole d'Évangile et réalité tangible, les femmes quand elles éprouvent le besoin d'incarner leur désir d'animalité, comme si leur corps ne pouvait en l'état y satisfaire. Est-on dans la reproduction d'un cliché entretenu comme une flamme sacrée dans le seul souci d'être bien dans l'attente de l'autre ? (Si je montre de l'humour, de la tendresse, je vais passer à côté de prospects potentiels. Si je mime la chienne, j'aurais du fouet. Si je donne dans le stéréotype, j'aurais un cheptel.)

*On oublie trop souvent qu'il faut être deux - parfois même trois - pour faire un couple. Fut-il canin.

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Les perles de l'été (6)

Rue Bricabrac, bdsm, lavement

TANDIS que l'été continue sa vacation saisonnière, et quoique A*** le si brun s'en offusque un brin, je continue de me promener sur des sites où des messieurs sérieux comme des mémètres passent annonces, tiennent récits ou proposent leurs sévices.

Il y en a encore qui ont en magasin les 1260 règles de la soumission, plus ou moins adaptées à leur sauce perso (compte-tenu de ce qui suit, je m'excuse d'avoir employé le mot sauce). En voici un qui parle en Louis XIV dans le texte.

La soumise devra se faire un lavement avant chaque rencontre. Si elle loge chez son Maitre elle le fera après sa douche et sa grande commission du matin.

Certes, dire la grosse commission aurait été un peu populaire, et enfantin d'annoncer quand elle aura fait popo.
Je me demande si la précision "grande commission du matin" suppose qu'il y en a une autre le soir. Et que la soumise a intérêt à se soulager le matin. Hum, comme tout cela est tristement normatif.

Et quand je suis revenue à la page d'accueil du site déjà cité, la vidéo promotionnée était justement une petite merveille (j'en suis sûre, rien que le titre donne faim) : Catastrophe Anale !!! (les triples points d'exclamation sont d'origine et tout est évidemment rigoureusement exact sinon, ça n'aurait aucun sens).

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Les perles de l'été (5)

Rue Bricabrac, bdsm, domination, bijoux
photo Masteringdesires

AUJOURD'HUI, un nouveau lapsus, un beau, très beau élevé sous la mère, 100 % bio et d'une opiniâtreté réjouissante.

Le fourgon ,à l’endroit où l’allée se partageait, bifurqua sur l’aine gauche afin de rejoindre le pignon orienté Est de la bâtisse où se trouvait l’accès à la remise.

C'est vrai qu'une bifurcation sur l'aine gauche, sans omettre de changer de vitesse, ou de pignon, afin d'escalader le mont le plus proche, celui qui cache la remise, peut si les doigts sont agiles, ou si le voyageur a un petit vélo dans la langue, s'avérer des plus agréables. D'une aine à l'autre, en évitant d'abord les ravins... et puis, au moment où l'on s'y attend le moins même si on le réclame silencieusement depuis un moment, en avant toute dans le garage, porte grande ouverte, pour y faire un balthazar dont on se souviendra.

La preuve que celui qui raconte cette histoire, donc je ne sais plus si elle est fiction ou réalité tant cela n'a que peu d'importance, pense bien à la même chose que tout le monde, un corps de femme, et non point quelque gothique édifice, c'est la suite

Encore un instant, le moteur ronronna pendant que l’homme faisait coulisser la grande porte. puis le fourgon s’engouffra roulant à même le rocher nu poli qui avait été arasé il y a bien longtemps pour en faire un plateau sur lequel s’était fondée l’imposante bâtisse

Un pubis rasé, de toute éternité, doux comme celui d'une prépucelle, comme un rocher poli par la mer, comme un plateau sans risque.

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Les perles de l'été (4)

Rue Bricabrac, bdsm, jupe

TANDIS que je ferraille avec mes doutes existentiels (pourquoi mon feeling pour l'autre sexe est à ce point rouillé qu'il ne se réveille que tous les 36 du mois, en général pour un être cabossé mais à ma convenance qui ne m'en repousse pas moins à plus ou moins long terme, généralement très court d'ailleurs), un homme, un vrai, qui va droit à l'essentiel lui, me pose la question de confiance

Avez-vous une mini-jupe en cuir ?

J'en ai eu une de jupe en cuir, pas mini, mais au-dessus du genou, en agneau plongé noir, superbement coupée et dégottée pour trois fois rien à Berlin en fin de soldes, dans une des nombreuses petites rues qui faisaient l'angle avec le Kudam.
Je ne l'ai plus.
Je n'en veux plus.
Je ne considère pas la peau de vache comme un objet de désir. En fait, l'homme qui peut me faire envie n'a pas de panoplie préétablie, ni n'attend de moi un attirail de carnaval.

J'ai envie d'être désirée en top et corsaire ou en kimono made in Japan, à oualpé ou entourée d'une serviette, en dessous ou sens dessus, en zentaï ou en harnais, en fetish baby ou en femme un peu fatiguée.
J'ai envie d'être désirée, moi, et non pas un arsenal qui fera office de Viagra.

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Les perles de l'été (3)

Rue Bricabrac, bdsm, perles
photo Valerio Napoletano

Lundi matin, la guêpière, la forte poitrine et le haut talon sont venu chez moi, pour me serrer la pin(c)e, le p'tit maître a dit

guepiere, haut talon, et forte poitrine bien venu.

J'imagine, pas bien loin de la table de dissection, du parapluie et de la machine à coudre, une guêpière altière lacée à craquer, juchée sur un vertigineux et sinueux talon orphelin, surmontée d'une poitrine russmeyerienne comme seules les blondes savent s'en faire faire, qui se dandine tant bien que mal vers celui qui a bien précisé, tant qu'à rester dans les détails anatomiques qu'

Un message n engage a rein

Rein de rien, la femme du fétichiste est réduite à trois signes. Et puis s'en va.

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Les perles de l'été (2)

Rue Bricabrac, bdsm, perles
photo Yoshiko314

IL y a des jours comme ça, où un inconnu vous offre son coeur, sans maime le savoir.

merci vous de maime



Les perles de l'été (1)

Rue Bricabrac, bdsm, légumes
photo Zach ManchesterUK

EN musardant à la recherche du prince fessant, en bas à gauche de mon écran, une phrase m'appelle haut et fort (alors que lorsqu'il y a à cet endroit l'image d'une fausse blonde au minou ixé en train de se faire mettre, je ne vois quasiment rien) :

Image non disponible.
Française, sodomisée à coup de courgette

De retour du magasin d'informatique le plus proche où j'ai pu me procurer un clavier neuf et en état de marche, j'essaie d'imaginer la scène. Une courgette, c'est certes original, on pense toujours au concombre dans ces moments où l'on aime très fort les légumes. Un seul coup, c'est un peu décevant, mais qui sait, c'était peut-être le bon. Quant à la nationalité de la femme, faut il penser que le modèle est disponible en pin's parlant et qu'elle crie "Oh oui, je le sens bien ton gros pédoncule" ? À moins qu'elle ne proteste "J'avais pourtant demandé une aubergine, foutredieu !"

En même temps, je suis un peu triste pour celui venu là trouver une Suissesse enconnée par un esquimau au chocolat ou encore une Belge suçant avidement un radis noir encore pourvu de ses fanes ?

Comme quoi, en l'absence d'images, l'imagination galope bien plus vite et loin.



Miscellanées liées d'août

Rue Bricabrac, bdsm, miscellanées

EN parcourant la presse people diplomatique, comme à chaque fois que je vais chez le capilliculteur, je vois que Talonette 1er, Trsarkozy d'Europe et de l'Univers pour 6 mois, chanoine de Saint-Fouquet's, se baigne en orange et en Vilebrequin™, le maillot en toile de spi made in Saint-Trop que la jet set s'arrache (si j'en crois les gazettes). Tout de suite, ça fait envie, Saint-Trop, jet set, et cette marque, Vilebrequin™... Je suis saisie d'un doute lexical. N'ayant pas mon Jean-Claude Carrière ("Les mots et la chose") sous la main, j'appelle Marcel pour qui les outils de toutes sortes n'ont plus aucun secret. Depuis son 15 tonnes lancé à fond de train, il ne semble pas partager mon idée que vilebrequin puisse dans certains cas évoquer, dans une hardie métaphore, le sexe masculin. Il me propose tout de go braquemard, que je n'étais pas sans connaître, quand bien même aucun de mes dominamants en quête de renarcissisation ne m'ait jamais susurré "dis tu le sens bien mon gros braquemard". Tout de même, j'insiste, vilebrequin, ça sent fort sa connotation phallique, ça perce, ça fore et il y a même un mandrin. Bref, je m'égare, et pendant ce temps, un startooper vient de trouver le nom de sa marque de trousses-couilles : Braquemard-moi le noeud©. Revenons vite à notre calfouet présidentiel. Or donc, il s'agit d'un bête short décliné en plusieurs longueurs pour un prix prohibitif (110 € au moins). Et en plein dans le mille, un modèle court mais pas trop est baptisé Master. Ignorant tout du tour de hanche présidentiel ainsi que sa longueur de cuissot, je ne peux deviner sur quel Vilebrequin™ (sans doute le Moorea) il a jeté son dévolu, mais ma foi, le Master me paraîtrait assez plausible et lui permettrait de continuer d'habiter la fonction tout en barbotant.

Parlant de master, chez Maison close, doux nom pour une marque de lingerie coquine, Monsieur Étalon (je n'invente hélas rien) pourra se la jouer boxeur en boxer de satin, noir, violet ou or, en souvenir du temps où Mohamed Ali n'était pas parkinsonien et s'appelait encore Cassius Clay. Chéri, si tu achètes le peignoir coordonné (la faute de goût consisterait à le prendre de la même couleur, le total look, c'est dépassé de chez out), je t'appelai Sugar si tu me violes comme Myke Tyson. Messieurs, n'oubliez pas que ce genre de dessous lâche à la cuisse et moyennement couvrant peut vite déclencher une colossale rigolade si le testicule gauche tente une percée.

Point de soucis de ce genre avec le plus petit bikini du monde. Avec un peu de ruban adhésif renforcé, on doit arriver à la même chose. Ce qui est pratique, c'est que chaque soir en le retirant, hop, si quelques poils avaient osé profiter de la chaleur pour repousser plus vite qu'à l'accoutumée, il vont rester scotchés. Outre le fait que c'est typiquement le genre de vêtement (heu, de confetti) qui oblige à faire pipi dans l'eau, je pense qu'il est du genre à se fâcher autant avec les nudistes qu'avec les textiles. La pudibonderie américaine à ceci de goûtu qu'elle donne naissance à des kitscheries à peine croyables. Et permet à des mannequins très cagoles distinguées de faire leur chemin dans la renommée.

Et puisque j'ai commencé avec le vilebrequin, je vais terminer sur un autre rapprochement "audacieux" (ce n'est pas moi qui le dit mais le marketing de la branche parfum d'YSL), le nouveau flacon du parfum "L'homme", dessiné par l'überarchitecte Jean Nouvel, que les âmes innocentes verront comme un tube à essais cul par dessus tête. Les autres iront récupérer un ancien flacon de Chamade et feront du collage en pouffant.

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Ta bouche !

Rue Bricabrac, bdsm, adieu
photo h347h3r

IL a mordu ma bouche, il l'a tordue entre ses doigts avant d'y remettre les dents, ne la relâchant que quand mes cris devenaient trop stridents.

Pour tenter de l'oublier plus vite, j'ai mis de l'immortelle* sur chacun des bleus qu'il m'avait laissés avant de partir.

Ma bouche enflammée avait envie de l'appeler.

Il y a des hommes qui ne se retournent pas. Mieux vaut se mordre les lèvres.


*Hélichryse, mais c'est moins joli

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L'oreille
Juke Boxabrac
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La peau
Présentation

presque moi
aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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Les mots
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