Des maux, des mains et des images (Top Ten modern) samedi 28 juin 2008
J'AIME particulièrement la manière, qui me rappelle certains de mes tortillements auprès d'amants vanilles, dont Dina Meyer en shorty bleu (Federal Protection - 2002) agite le derrière pour aimanter la main de son compagnon, sans parler de son regard à la caméra quand il commence à comprendre de quoi elle a vraiment envie. (Oui, Dahlia, on est d'accord, le summum de l'érotisme, c'est La secrétaire)
Parfois, ça marche. Ensuite, le tout est de reproduire et d'amplifier l'action.
Pourquoi donc ce blocage, sauf entre affranchis ? Pourquoi est-ce parfois si difficile de demander, sur l'air princier et ténu du "Dessine-moi un mouton", "Donne-moi une fessée, s'il te plaît, inonde-moi de ces attentions brûlantes qui étanchent ma soif, amène-moi au don, au cri, aux larmes, laisse aller ta main, ton bras, ton élan. Prends ton pied sur mon corps en l'écoutant résonner. Laisse-toi gagner par mes vibrations, chauffe-toi en me culorifant !"
(Spéciale dédicace à I***)
Tags du billet : cinéma , fessée , main , obsession , télévision
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Par Bricabrac / Publié dans # Les mots des maux
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Réponse de Bricabrac le dimanche 29 juin 2008 à 10:23
Réponse de Bricabrac le lundi 30 juin 2008 à 16:13
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Réponse de Bricabrac le mercredi 2 juillet 2008 à 18:44
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