Rue Bricabrac, bdsm, burqini, latex
D.R.

AMIS fétichistes, ceci est pour vous ! Ce n'est pas parce que je n'ai aucun goût pour le latex (même si dans le doute, toujours présent sauf testage et suspicion de fidélité, je sacrifie au rite de la chemise de Vénus) que je ne me tiens pas au courant des dernières tendances en matière des dérivés de l'hévéa.

Rue Bricabrac, bdsm, burqini, latex

Si le latex liquide donne des magnifiques résultats presque tentants, le prix des vêtements permettant d'être la plus belle à la nuit élastique est proprement prohibitif.

C'est donc dans le cadre du mélange des cultures et de la fashion week aquatique que je vous propose le burqini, qui théoriquement permet aux dames musulmanes de fréquenter les piscines ou de prendre des bains de mer sans offenser les représentants barbus de leur Dieu (qui n'en demandait peut-être pas tant, mais ceci est un autre débat). Réalisé par Aneda Zanetti dans le caoutchouc le plus fin, existant dans une grande variété de tailles (et de couleurs, mais je ne sais pas si le turquoise ou le magenta sont dans le dogme des dress codes), en modèle près du corps ou au contraire masque formes, le burqini a le mérite de 150 €. Au pire, on le recycle en sudisette ou en vêtement amphibie.

Merci qui ?

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