Rue Bricabrac

2007, sans regrets

Rue Bricabrac, bdsm, nouvel an, main
photo Spiralz

2007 expire, que 2008 inspire.

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Mauvaises vibrations, man...

Rue Bricabrac, bdsm, vibrations
photo Shadowplay

LES petits rois fainéants sont servis.

Le fouet vibrant, et la cravache pareillement parkinsonnienne, existent en magasin (je décommande vigoureusement le premier qui pratique des prix et une orthographe honteux, et proposent dans leur rubrique sex toys funny, une kyrielle de fruits et légumes grotesques, dont le pompon revient aux boules de geisha en forme de fraise. Tue l'orgasme, je dis.).

Je ne suis pas sûre de bien saisir la subtilité de ces objets, sauf à conchier le développement durable, je ne vois vraiment pas. En même temps, difficile de passer à côté en faisant semblant de ne pas les voir.

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Ce n'est pas du réchauffé

Rue Bricabrac, bdsm, fouettée
photo Carroll

MAGNANIME et généreux, sachant dans quels âge et lieu de glace je me trouvais, froidure dehors, panne de chauffage dedans, tu as tout laissé choir pour venir me réchauffer.

Tu es arrivé, j'étais au téléphone, un ami s'inquiétait de la température. Je m'apprête à couper en l'informant qu'un ami réchauffeur venait tout exprès en expert de débarquer, pyromane de ma chair. "Tu peux lui dire que tout à l'heure, tu seras proche du coup de soleil".

Descente du sac à malices, ceintures de judo en guise de cordes, à la recherche de l'attache idéale, essais esthétiques, ta moue, mes mains en prière, ma chair de poule, ton sourire moqueur.
Je grelotte. Je suis nue, étirée entre plafond et plancher, pas assez serrée pour ne pas trembler, pas assez bâillonnée pour ne pas maugréer.

Dans ton inaltérable bonne humeur, tu donnes du chat, du fouet, de la badine, tu as les queues allègres, mais mes ronchonnades ne s'arrêtent pas, il m'en faudrait mille ensembles, sur chaque centimètre carré de ma peau, pour remonter mon thermostat rétif. Je renâcle, je rouspète, je n'arrive pas à savourer les coups.

Tu me détaches, je fonce sous la couette en jouant des castagnettes avec les dents, les cuisses et les doigts tandis que tu me contres à pleines mains, pour d'autres percussions moins mesquines. Là commence un jeu entre aïe et toi, rire moi, le chat et la couette, la chatte et tes coups. Tu me découvres, tu claques, je me retourne, m'enfouis, je ris, je crie, tu recommences, tu bisses triples et quadruples, j'expose mes zones les plus fragiles en masquant les plus frileuses. Je sursaute, tu me plaques, je me cache, tu me débusques, j'ai le fou-rire, tu gardes ton sérieux.

J'ai fini par avoir très chaud, j'étais un peu pompette aussi de trop de rigolade.
Comme après un grog. Ou trois.



Canne en sucre, bonbon au poivre

Rue Bricabrac, bdsm, Noël
photo Curvz

J'AI évidemment beaucoup ri à ce lien donné par Maïa Mazaurette, qui a quitté sexe, love et gaudriole pour son sexblog à elle, Sexactu. (Dans la série, Agnès Giard aussi à le sien, les 400 culs, deux saines lectures, ces deux dames ayant de la plume.)

Quand bien même le berger s'est empressé de répondre à la bergère, je me demande depuis que j'ai lu les 40 manières de foirer sa rencontre (au sens biblique, évidemment) si certains parmi toutes les sortes d'hommes qui fréquentent les sites bdsm de rencontre, n'y viennent pas uniquement pour pouvoir se comporter comme des pignoufs au pieu. Comme pour ma part, si je n'avais pas été maso, j'aurais certainement fait la soumise uniquement pour jouir de mon extrême passivité et me reposer de toutes ces années de luttes féministes où le corollaire supposait le soir, après la manif, de prendre le dessus et s'agiter comme des diablesses au risque de se ruiner les seins et de se péter les ligaments croisés uniquement pour que l'homme puisse à son tour faire la fille et être à la fois le guerrier et le gisant. Donc je ne donne de leçons à personne, j'aime les metteurs en scène et les marionnettistes, et je ne suis capable d'imagination que si l'autre en a aussi.

Combien se sont glissés parmi les dominants exclusivement pour être renarcissisés (tu la sens comme elle est grosse) ; baiser avec des chaussettes ; pouvoir traiter une femme de salope et de cochonne (en effet, pour les accueillir, il faut au moins cela) ; forcer leur sexe dans sa gorge sans égards ; sodomiser comme si c'était une pratique illégale ; refuser le port du préservatif... ?
Ce n'est évidemment pas une généralisation, mais je suis parfois posée la question devant l'incapacité de certains à créer le désir, ou à même envisager de devoir le faire, associée à leur maniement sans art des lanières ; l'envie d'une soumise clé en main, mets ta main sur mes couilles ; l'impossibilité de trouver un clitoris même avec une boussole, et donc de triturer ce qui leur tombe sous les gros doigts gourds, ça te fait mal, mais tu aimes ça hein, dis le que tu aimes ça...
Et s'ils n'étaient que des Zemmour en quête de soulier à leur petit pied ? Après le Prince cherchant le peton à la taille de la pantoufle de vair, voici les machos tristes à la poursuite de leur fourreau.

Tout ça n'est pas bien grave, mais comme vient de me dire un vieil ami, et en ces temps de mère nouelle, je mersifle.



Pourtant, je ne suis pas un cadeau !

Rue Bricabrac, bdsm, cadeau
photo Lestrim Rose

Rue Bricabrac, bdsm, Noë

COMME chaque année, au fur et à mesure qu'on approche de Noël, je me sens agressée, j'ai hâte que cela finisse. La joie factice, le faux faste bling bling, la débauche de triglycérides en vitrine, le gâchis absolu que cela représente me flanque la nausée.
Par chance cette année, une surcharge de travail m'a tenue écartée des prémices de la "fête". Laquelle n'a pas le bon goût de tomber un dimanche, ça ferait du deux en un, allez hop, pesé (lourd), emballé (bolduc), plié (kitsch), et on en parle plus. Il ne restera plus qu'à zapper le Nouvel An, et c'en sera fini, les jours rallongeant, on pensera à l'été en ouvrant les cartes de voeux.

Rue Bricabrac, bdsm, sapin

Je n'ai pas envie d'un conte de Noël (je parle de Nicolas et Carla pour faire monter les stats ? Naaaan...). Je n'ai pas envie qu'un géronte mal sapé en surcharge pondérale manifeste s'agite dans ma cheminée. Je n'irai pas chez Mickey chercher le sorcier (contrairement à, non, j'ai dit que je n'en parlerai pas).
Tout au plus aurais-je envie de m'offrir. De me déguiser en cadeau. Passive, offerte, à déballer, du bout des gants au shorty, du chapeau aux babies.
Fermer les yeux, ouvrir la bouche pour accueillir le bâillon. Accepter les poses comme un jouet mécanique. Obéir aux ordres comme un robot.
Exceptionnellement, faire le chandelier et la chandelle. Être flambée et le flambeau.
Clignoter, un coup tu m'allumes, un coup je hurle.
Bégayer des mercis.
Mendier la pitié.
Prier pour être insérée.

Alors, je ferais l'ange et l'agnelle, tu n'auras plus les boules, ma fesse de minuit sera rôtie à point et mes caresses seront juste un peu piquantes pour te redonner de l'ardeur.

(La robe "Christmas Couture" réalisée par Oriane Fischer, Margaux Aroug et Soo-Rim Kim , étudiants d'Esmod International, a été primée le 4 décembre dernier.)

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Orgasme synchronisé (l'essentiel, c'est de participer)

Rue Bricabrac, bdsm, Journée Mondiale de l'Orgasme
photo Rumple

DEMAIN, à 7 h 8 précise sur le fuseau horaire de la France, ce sera la deuxième journée mondiale de l'orgasme (présenté ainsi, ça fait très minute de l'orgasme).
En ce qui me concerne, je participerai, avec mon partenaire qui, sauf coup de théâtre de dernière minute, étant soit le canard, soit le lapin (non, je ne suis pas zoophile). Mais pas le cône, on ne s'entend pas.

Pour donner un peu de sens aux vibrations, qui sinon ne font que me chatouiller désagréablement, je me bercerai de quelque fantaisie.

J'ignore quel visage il a, mais il est assez massif pour que je me fasse l'effet à ses côtés d'être une allumette. D'une main, il me couche sur ses genoux, dos sur ses cuisses, enserrant haut mes genoux. Si je me débats, ce que je fais, je ne peux que décoller mes reins et lever plus haut mon cul vers sa large main. Laquelle, dans des bruits mouillés, imprime sa marque sur mes fesses glacées qui prennent de la chaleur en même temps que de la couleur.
La température s'éloigne du centre de gravité, gagne mon sexe qu'il ignore encore, et mes seins que ses doigts fouillent quand ils n'énervent pas les pointes. Une fois celles-ci dures et dressées, il les parcourt de sa paume, et je sens entre mes omoplates que cela lui fait très plaisir.
Il serre un peu plus fort chaque globe, tourne ses mains dans un sens et l'autre, les lâche pour saisir mon sexe d'une main et le chat à neuf queues de l'autre, et...


...
...
...

Je n'ai pas le temps de passer au niveau 2 des sévices, la mécanique étant ce qu'elle est, je jouirai dans un arc et un cri, et comme il sera bien tôt le matin, je me rendormirai.
Si Morphée est bon, il m'enverra la suite.



Des nouvelles du pays

Rue Bricabrac, bdsm, Rachida Dati
D.R.

POUR Villepin, la France était une femme qu'il fallait prendre à la hussarde.

En Sarkozie, s'il faut en croire un ancien (de peu) numéro de Paris Match, la France change de visage. En fait de visage, c'est tout une silhouette qu'elle nous propose, avec dans le rôle de la Marianne, maîtresse Rachida, qui jamais mieux n'a mérité ce sobriquet inamical.

Dans un palace, comme toutes les poules de luxe, vêtue en hiver d'une robe d'été magenta mais surtout imprimée panthère (et comme chacun le sait, surtout les fashionistas qui en ont fait leur slogan, le panthère, ce n'est jamais vulgaire). Comme si l'envie prédatrice n'était pas assez surlignée, celle dont on se demande ce qu'elle a fait des sceaux porte collant (mais pense bas qui veut) résille et bottes (beurque) à talons aiguilles.

La France n'a plus le bassin qui la démange (toujours selon l'élégant Goulouzeau), mais la schlague qui frétille. Elle a de quoi mordre, percer et prendre dans ses filets. La France te domine, tu la sers ou elle t'émiette.



Ni rouge ni noir (violet powaaaa !)

Rue Bricabrac, bdsm, violet
photo Nathalie Addams

J'AI toujours aimé le violet, cette couleur qui se décline du mauve presque blanc, s'attarde à la saison des lilas, et finit en presque noir. Le premier habillage de mon blog était violet (et un peu vert aussi).

Cet hiver, le gris est le nouveau noir et le violet le nouveau rouge (à ongles). Le violet, c'est aussi la robe des évêques. Les violettes, c'est ainsi que se nommaient les lesbiennes au temps des garçonnes, depuis qu'au début du siècle, le XXe, Nathalie Barney ou Renée Vivien firent de cette fleur (qui ressemble à un clitoris), et de cette couleur donc, le symbole des dames saphiques.
Le violet, c'est un rouge qui va se transformer en bleu (puis en jaune), mais pour l'obtenir, il faut mettre du bleu dans le rouge, va comprendre. C’est un rouge refroidi, un bleu réchauffé, une couleur secondaire, c’est à dire double.
Le bouquet de violettes, de chez Lachaume, est un cadeau culte, souvenir patricien des plus modestes vendus par des petites fleuristes prolétaires, du temps justement où des violettes habillées en dandy s'embrassaient chez Moune.

En symbolique, il paraît que le violet est (entre sûrement mille autres, mais je plaide pro domo) la couleur de la passion, de la fusion et de la... soumission.

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Fort de café

J'AI tout faux. Mais alors sur toute la ligne.

Rue Bricabrac, bdsm, fessée

Pour commencer, je n'ai jamais considéré le mariage comme une option, donc je n'ai pas, jamais eu, de "husband" à domicile.

Ensuite, je ne bois pas de café, je n'y connais rien, j'ignore s'il est frais ou pas, en revanche, en matière de thé, je déchire.

Mais puisque je suis prête à tous les efforts, j'ai acheté du Nes. Ce qui devrait me valoir de la part des vrais amateurs quelques cuisants retournements de situation.

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Histoire d'O...mbre (c'est pas la fête)

Rue Bricabrac, bdsm, XXXB

AU silence répond le silence. Il appelle pour se taire, elle doute sans moufter. On douterait à moins.
Alors, il a été privé de la petite annonce de fin de mois. En est-il bouleversé ? S'est-il rongé les sangs comme on espère que fait l'aimé fantasmé quand on est adolescente et qu'on boude, se croyant dans un Ophüls.

L'hiver à son tour étouffe l'embellie qu'on avait cru sentir entre XXXB et son convoité. Il est à craindre que 2008 soit comme 2005, il jouera au fantôme, elle dévoilera ses états d'âme moncordes en bimensuel, par voie de presse.

Qui sait, il est peut-être de ces hommes pour qui la frustration est le moteur du désir, et qui en jouent tellement qu'on finit par douter de leur existence.

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La culotte à laquelle vous avez échappé

C'EST laid. Incroyablement, incommensurablement, immarcesciblement laid. Grâce soit toutefois rendue à la douce Columbine qui m'a indiqué ce lien. Parce qu’à ce stade, la laideur devient intéressante.

Unquestionably racy a déclaré le Daily Candy. Je vais me m'abonner à cette feuille pour savoir ce qu'ils repoussent, ce doit être exquis.

Rue Bricabrac, bdsm, lingerie

C'est un site de lingerie américain qui essaye de se la jouer françaoui, total look ça c'est Paree, cet endroit lointain et encore un peu rustre où toutefois les femmes sont des coquettes, limite poules (je n'ai pas dit dindes, quand bien même nous en connaîtrions tous aussi), et n'hésitent pas à lever la jambe pour un cancan ou encan. (Ne pas manquer la kitchissime page d'accueil avec téléphone en bakélite et exemplaire du grand quotidien du soir de référence.)

Nona de Samim crée de la lingerie pour dames, inspirée dit-elle, du XVIe siècle, français, bien sûr. Avec des noms dans un français aussi torturé que supposé affriolant. L'une des trois lignes de la collection est ainsi intitulée La couture de pâtisserie, ce qui laisserait présager des dessous aériens et dansants, chantilly de mousseline et de satin, ruché de soie et d'organza, un déluge déraisonnable de fanfreluches. Las, des culottes hautes sans sex-appeal, mal coupées, assorties de jarretières, qui ferment comme des soutiens-gorge pour dévoiler le haut des fesses, si loin pourtant de Mireille Darc dans Le grand blond (rendez-nous Guy Laroche !). C'est juste vilain.

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Autre modèle, pour Sans culottes, le jock-strap adapté pour les filles, en guise d'alternative au string. L'avantage, c'est de ne plus avoir de ficelle qui cisaille la raie. Mais la forme arrière rappelle une version light du baudrier de l'alpiniste. La maison ne reculant devant aucune horreur propose même une couleur dite "dirty bleu".
Quand on arrive aux jupons, on touche le fond. Là encore, découpe en O qui se veut scandaleuse et qui n'est même pas coquine. Pour le reste, forme droite à panneaux grossiers terminés par des volants sans grâce au genou, c'est à hurler.

Je pousse un cri, d'ailleurs.

Rue Bricabrac, bdsm, lingerie



Mais au fin fond de la ligne L'atelier parisien, un bloomer cul nul en trois couleurs dont ce rouge baroque totalement de saison (la fameuse culotte rouge des Italiennes).



Dame patronesse, le retour

COMME l'année dernière, m'sieur Éric du Presse-citron remet en route son opération les blogs du coeur.

Tout est expliqué ici, c'est simple comme tout.
Les dons aux Restos du Coeur étant pour 75% déductibles des impôts, au final, un don de 100 € ne revient qu'à 25 €. C'est plus facile de donner.

Alors faites comme bon vous semble, mais faites tourner l'info si vous pouvez (don't bogart...)

(La Rue Bricabrac n'acceptant pas les placards de pub, mon don correspond à sa valeur habituelle, on n'est pas obligé de suivre à la lettre les recommandations du citron pressé. Et malheureusement, les restaurants ont de plus en plus de clients...)

La ligne bdsm reprendra après cette interruption de programme dépendante de ma volonté.



Fessées en stock

Rue Bricabrac, bdsm, fessée

DEPUIS deux ans, l'Union des Familles en Europe mène une enquête sur la fessée, celle que les parents donnent aux enfants. Le résumé de l'enquête est ici. Je ne retiendrais qu'un seul chiffre, s'il le fallait, c'est que 64 % des enfants fessés comptent à leur tour élever leurs enfants ainsi. Ce qui doit être un mauvais taux de rebond (87 % des parents avouent pratiquer) pour les partisans du retour à l'autorité (la lecture des commentaires de l'un et l'autre articles cités ci-dessous est édifiante)

Tous les journaux ont peu ou prou parlé de l'enquête. Je n'ai rien d'intéressant à dire sur le sujet, je ne suis ni parent, ni psychologue, et je suis contre toute forme de châtiment corporel envers les minots. Déjà, les mettre au monde...

Ce qui m'amuse, c'est la photographie que l'Obs en ligne a choisie pour illustrer son article. Tandis que Libé (dont l'édition papier se passait de toute image) est allé chercher sur Flickr une photo de la toile "La fessée de Paul Marie", une mère châtiant son fils cul nul suite au bris d'une cruche, l'Obs a trouvé quelque chose qui a tout à voir avec soit le bdsm, soit une fin de repas un peu trop arrosée qui a levé les inhibitions autant que le kilt. (La photo venant de SIPA, qui fait commerce de la publication de ses photos, je m'en suis sortie par une copie d'écran, l'original est ici, le temps que durent les liens et les archives.)

Comme c'est juste pas possible qu'un iconographe digne de ce nom illustre la fessée punition enfantine par ce genre de cliché, je penche pour un private joke. Allez, camarade, fais ton coming out !

Pendant ce temps, je cherche s'il y a un donneur dans la salle.

(Et tout ça se passe le jour de la saint Nicolas et de la fête au père Fouettard. Nous, on a les deux en un maintenant.)

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Gorge Profonde

Rue Bricabrac, bdsm, pipe
affiche Miss Tic

EN faisant des recherches ici et là, strictement sans aucun rapport avec ce blog, je croise une longue liste de tests psychologiques, aux dénominations acronymiques (du moins je suppose).

Et bien que ce ne soit pas celui qui m'intéressait, je m'arrête forcément sur

Troubles du comportement alimentaire :
- (pour la boulimie seulement) : BITE

Ce qui donne à réfléchir... Les boulimiques suceraient-elles/ils mieux, ou plus profond, que les femmes et hommes éloignés de cette pathologie. Ou bien, dans leur empressement à engloutir tout ce qui se met en bouche, useraint-elles/ils de leurs dents ? Ou alors, une fois mis en bouche, le sexe ne les intéresse plus et elles/ils repartiraient à leurs chocoBN à la crème de marron avec des rondelles de banane ?

J'imagine les boulimiques mené(e)s au régime avec à 10cm de la bouche, une bite au bout d'un fil de nylon (l'image de l'âne et la carotte légèrement détournée). En guise de bâton, un fouet. Si tu maigris, tu as le droit de piper.

(Je pense qu'il est plus que temps que j'aille me coucher avec une bonne tisane.)

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Mets la gomme !

LES Brits ont toujours été des cadors du film publicitaire. Et ce n'est pas cette petite merveille (dégottée via fluctuat) de folie, d'humour et de créativité qui va démentir mon affirmation enthousiaste.

Bienvenue dans la famille fetish sado maso où même le nain de jardin porte du latex.

Moi qui suis généralement hermétique à la pub, ça me donnerait presque envie de me fournir chez Rubber 55. Comme je n'aime pas le latex à la folie, je ne m'en sers qu'en prophilaxie, je me retiens.

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L'oreille
Juke Boxabrac
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La peau
Présentation

presque moi
aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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Les mots
Flash-back
À lire
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L'oeil
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Le cliquodrome
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