Rue Bricabrac

On ne badine pas avec la Sainte Trique !

Rue Bricabrac, bdsm, érection
photo Shutter-Bugg

C'EST ce qu'il faut croire à lire les commentaires du billet précédent. (Merci à Novice Accomplie de m'avoir fourni une partie de ce titre)

Lorsque j'avais parlé, toujours en me basant sur des récits triomphaux et hyperboliques où des femmes se décrivaient comme littéralement liquides (au contraire de leurs solides amants et maîtres) et multiorgasmiques, du fait que la femme n'était pas nécessairement un distributeur à orgasme capable de s'envoler dans des cieux qu'aucun ascenseur ne peut atteindre (donc bien au-delà du 7e) sur la simple injonction "jouis maintenant, je le veux !", il ne me semble pas avoir suscité autant de réactions (je ne sais plus dans quel billet, ayant plus de goût pour le radotage involontaire que pour l'auto-citation fière, et si ça se trouve, j'en ai parlé à mon partenaire et pas à mon blogue...).

Je voulais, avec La débandade, parler du plaisir que l'homme n'arrive à atteindre malgré son envie, ou alors qu'il se refuse. Je connais bien des, enfin, un homme qui ne me prend pas. Je pressens le pourquoi, j'espère son plaisir, il me l'a confirmé. La relation est telle que je n'en ressens ni frustration, ni souci.
En revanche, quand je vois, ou certaines de mes amies, des hommes qui ont choisi la pénétration comme moyen de transport, par envie de va-et-vient, ou que sais-je, et qui n'y arrivent pas, j'ai de la peine souvent, envie de rire d'autres fois, ou même juste envie de me téléporter ailleurs, parce que je jure qu'il n'y a rien de sexy, d'érotique et de confortable à assister au spectacle de quelqu'un pour qui on a affection, tendresse et reconnaissance du sexe et qui est là, suant, ahanant, soufflant, le visage tordu, la bouche en rictus et les sourcils dans les paupières, Sisyphe de l'érection.

Or, dans les récits, on ne parle jamais de cela. Je me doute bien (brain inside) que cela doit arriver aussi dans les relations vanilles, je ne parle pas de cela, et le bandeur mou du samedi soir ou du mardi entre midi et deux vaut en effet bien l'anorgasmique qui lui sert de compagne, là n'est pas le propos.
Il est tout simplement, entre une émission de radio et quelques souvenirs, de faire de l'humour et d'enculer les mythes (ça fiche la paix aux mouches pendant ce temps).
Si ça se trouve, tous ces hommes ne sont que des précurseurs de la décroissance, ce mouvement qui me semble la seule solution valide pour l'à-venir.
En plus, j'aime bien les tulipes parce que ma mère les aimait.

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La débandade

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photo Toshio

AUX alentours du 15 août, dans une émission d'après-midi sur France Inter qui se penchait cette semaine-là sur le plaisir féminin tant que masculin, quelque sexologue dont le nom m'a échappé, comme une partie des propos, j'avais la tête ici et là, a déclaré en substance, parlant des effets de la domination chez l'homme, et dans une partie caverneuse d'icelui, qu'elle ne procurait que des érections fugaces, au contraire des caresses longues qui sont, elles, les garantes d'une bandaison béton, et donc, que cet ersatz de dopant qu'est ce que nous appelons le bdsm n'est que cautère sur une jambe de bois, pissage dans un violon et peinture dans l'eau.
Comme le lendemain, dans cette même émission, le jobard docteur Christian Leleu était invité, je me suis dit que vacances obligent, la qualité des intervenants n'était peut-être pas la meilleure, et j'ai continué de compter les mains pour m'attendrir.

Et puis hier, en rangeant le ventilateur que j'avais sorti pour une occasion bien particulière, je me suis souvenue de celle-ci, et de quelques autres anecdotes du même tonneau.

Il était une fois un partenaire, un homme qui m'excitait follement, dès le premier baiser, le premier toucher. Il me comblait, il me faisait mal si bien que la douleur se transformait instantanément en plaisir, mieux, il y avait plaisir avant même que je perçoive la moindre douleur. Je n'avais pas vécu cela depuis un moment. Il semblait de son côté tout à fait heureux. Parlant d'heureux, quand venait le moment du happy ending comme disent les masseuses thaïlandaises, ce n'était pas la fête pour lui. J'en étais bien désolée, et je ne savais que faire pour favoriser son plaisir (sucer, oui, je sais, mais une fois la mâchoire décrochée, on fait quoi ?). Il avait chaud (le thermomètre affichait 21° dedans). J'ai donc sorti le ventilateur. J'ai aussi coupé FIP, mes contre-mesures antibruit des cris, parce que la musique le déconcentrait (il était très musicien). Il prenait des forces et son souffle à grand renfort de respiration du petit chien. Coup de bol, le ventilateur n'était pas trop bruyant, et point ne fut besoin d'attendre le général Hiver.

Dans les récits érotiques, ou voulus tels, témoignages de soumises, odes aux maîtres, narcisso-shows des messieurs, l'érection se porte dure, turgescente même, dressée comme un menhir (au moins), c'est Hercule dans sa gloire verticale, l'Obélisque n'est pas son cousin. Et quand ça jouit, c'est Versailles un soir de fête, une pub pour les produits laitiers, toute l'écume des mers...

Dans la réalité le coup de rein ou de boutoir, le coït vigoureux et la queue qui tape au fond, c'est moins flagrant.

Il y a ceux qui n'éjaculent pas, comme ça, c'est plus simple. Parce ça coupe l'influx. Parce qu'un maître ne mélange pas. Parce que je ne sais quoi, comme les footballeurs ou les sprinteurs.
Il y en a un autre qui, côté cul ou con, n'y arrive pas. Rien ne remplace la paluche. Comme il faut tout de même justifier cela face à madame, c'est "parce que je veux t'arroser". Ou le retour de la revanche de l'éjaculation faciale comme alibi d'un bon vieux coup de veuve Poignet, l'inégalable.
Il y a ce psy, dont tout un chacun qui le connaît dans le civil vante l'urbanisme et l'intelligence, et qui saisissant ma main pour la poser sur son entrejambe dûment pantalonnée, me serine "Tu la sens la bite, tu la sens la bite" sans jamais la montrer ou en faire autre chose que de crier son existence.
Il y a ce maître TBM qui débande toutes les 30 secondes et qui a besoin de coller sa bite dans la bouche de sa partenaire sans arrêt pour pouvoir continuer à limer.
Il y a encore ce garçon aux mains d'or, aux doigts godes et à la langue agile qui est plus qu'heureux qu'on en oublie son pénis qui ignore tout de la notion de rigidité.
Il y a enfin celui qui pour se redonner de la vaillance et se sentir plus optimal essaie toutes les positions pour finalement n'en adopter aucune.

Alors parfois, en rangeant un ventilateur qui n'avait même pas servi l'été dernier, en avril, on se demande si la dame sexotruc n'aurait pas, hélas, un peu raison. Ou si certains hommes, un peu fragiles de l'érectile, ne viendraient pas chercher soumise pour retrouver un peu de la superbe qu'ils ont perdue face à des femmes qui ne ressemblent plus à leurs arrières grands-mères.

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Verson scalpifiée

(À toutes fins utiles et pour éviter que l'on ne me suspecte d'être la cause de tous ces recroquevillements, je précise que certaines des anecdotes ci-dessus m'ont été rapportées par des amies à la sexualité jumelle de la mienne.)

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Les nourritures terrestres

Rue Bricabrac, bdsm, cuisine
Ayupov Timur

LE vocabulaire du gourmet et du masochiste emprunte les mêmes sentes.

On l'a vu avec une pub qui a fait mordre les chiennes de garde et qui était plutôt bon enfant (sauf à vouloir sucer la roue du politiquement correct et donc castrer non seulement le langage, la fleur devenant une compagne botanique, mais encore plus la pensée). La marque de la crème étant un prénom à la Perette, il était prévu de la lier, de la battre, de la fouetter.

À ce compte-là, bonne crème, double crème même, je signe des deux mains pour être Perette, toute fraîche.

H*** avait très vite compris combien le simple mot de "déguster", associé depuis quelque lecture approximative, au fouet ou à la cravache, me faisait littéralement saliver, me mettant la bave aux lèvres (comme je ne cherche pas à faire monter mes statistiques, je ne parle pas de cyprine), et il en usait avec beaucoup d'à propos, ni trop, ni trop peu, et je crois qu'avec lui, ce mot résonnait particulièrement parce qu'il le pensait vraiment, et ne s'en servait pas comme un gentil perroquet. Je numérotais mes abattis avant de passer à la casserole.

N*** prétend me faire mijoter, mais il oublie d'attiser le feu, alors je reste froide, il ne me fait même pas suer, c'est dire. Je marine ? Je ne crois pas. Court-circuit plus que court-bouillon !

Certains aiment mortifier leur partenaire pour l'attendrir, je ne marche pas, je préfère la méthode active, toutes mains dehors. Qu'on me pile, qu'on me pique, qu'on me pousse, qu'on me concasse. J'allais dire qu'on me panne, mais c'est tanne, et son sort de la cuisine, même si on reste du côté de la vache.

D'autres m'ont laissée, après des heures pile et face, cuite, pas saignante puisque comme exsangue, mais bleue. À point en même temps. La cuisine sm permet des licences que les fourneaux ne permettent pas.

Je n'irais pas comparer le bondage au saucissonnage, même si pour certains qui confondent shibari et ici bardé, il y aurait de quoi. Les connaisseurs des rondeurs féminines se plaisent à pétrir seins et fesses, monts et merveilles, car comme certains vins de qualité, j'ai du corps et de la cuisse. Pour faire lever la douleur, ou alors, l'enfoncer encore plus profond. Et c'est totale volupté que d'être ainsi traitée, comme une pâte souple et ferme. Avant de se faire embrocher à la hussarde.

Enfin, je frémis, je me détends, je me débride, multipliant luxure et gourmandise pour pécher au carré.

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Elle voit des mains partout (Part 13)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

AINSI font font font les petites menottes, ainsi font font font trois mille tours et puis s'en vont...

Je ne passe pas la main pour autant. Ce n'est qu'un au revoir aux mains, du moins dans leurs variations légères et estivales. Elles auront toujours ma préférence, pour gifler ma chair dans l'écho des peaux, pour caresser mes creux les plus secrets, pour approcher mes lèvres et recevoir mes baisers.

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Histoire d'O...mbre (Régression)

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ADIEU bus, pipoo, envies... On en revient aux balbutiements, aux appels muets et masqués, enfin, à l'appel, quel râteau ! Quant à rouler une pelle à son X cardinal, l'emploi du conditionnel plutôt que du futur sent son découragement.

Il pleut sur Paris, ça sent la Toussaint. Les amoureux ne se bécotent plus sur les bancs publics, les coins de parapluie n'ouvrent pas au paradis et même derrière l'hygiaphone ça ne parle pas beaucoup.

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Elle voit des mains partout (Part 12)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

À force de voir des mains partout, il y en a vraiment partout, et en nombre, on dirait. Pour preuve, ce petit morceau extrait du récit d'une oiselle fraîchement plumée...

Il m'a donné l'ordre de me deshabiller,jambes ecartées mains sur la nuque,cambrée et mains au mur,

La ponctuation étant hésitante, je penchais pour six mains, mazette, madame, trois paires de bras, félicitations. Mais peut-être n'y en a-t-il que quatre (c'est Shiva, pour le moins, dont les bras sont bien loin d'être un signe de soumission...), si une fois déshabillée, les deux mains qui ont servi à l'effeuillage prennent place derrière la nuque.
La soumise transgénique est arrivée.
La suite nous apprendra si elle a été élevée ainsi pour mieux servir son millimètre, et le grandir un peu (la mienne en a plus que la tienne) ou bien si c'est un effet de bord du maïs OGM généreusement prodigué dans sa volière par maître Monsanto.

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Elle voit des mains partout (Part 11)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

POURQUOI diable l'expression "une main de fer dans un gant de velours", attribuée pareillement à Napoléon et à Bernadotte, perdure-t-elle à l'infini ? Parce que le cliché parle trop bien de lui-même, et propose une alternative imagée aux plus banals "sévère mais juste" et "ferme mais tendre" ?

Une main de fer, quand on y pense, ça renvoie aux gantelets, à la gente soldatesque, à quelque chose de mal commode, de caparaçonné, de protégé, de grinçant. Les premières prothèses, l'avant-bras de Folamour, les membres mal huilés du Tin Man d'Oz, l'appendice anthropomorphe de quelque robot mal léché. Une main de fer, en plus, ça rouille. Alors, coller un gant de velours par-dessus, franchement, c'est du cache-misère. D'autant que ce qui serait vraiment épatant, ce serait de découvrir une main de velours une fois le gant de fer éparpillé.

Pourtant, c'est juste vêtue de sa peau, douce ou calleuse, soyeuse ou râpeuse, pulpeuse ou sèche, pour ce jeu de paume, la main n'a besoin ni de tissu ni de métal. C'est à elle de savoir se faire acier ou satin, battoir ou onde, cinglante ou caressante.

Je vous en serre cinq, vous m'en collez bien plus.

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Elle voit des mains partout (Part 10)

Rue Bricabrac, bdsm, main
Photo Only Alice

POUR une fois, ce seraient mes mains. Déliées, mais tendues.

Libres, comme une illusion. Rampantes sur le sol ou contre un mur, étirées pour attraper une clé, faire un signe, agripper le bas d'un pantalon.
Esquisser le geste de partir, mais ne pas pouvoir, ça tombe bien. Ne pas vouloir surtout. Choir encore.
Hors champ, bâillonnée, aveuglée, un pied enchaîné arrimé, captive au faible rayon d'action, je cherche une impossible fuite.

Je jouis autant que je crains la vanité de ces efforts. À terre et si haut à la fois.

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Elle voit des mains partout (Part 9)

Rue Bricabrac, bdsm, main

L'ENVIE, l'idée, c'est de ne pas y aller de main morte, et une main défunte, in memoriam canal carpien, ne pourrait pas grand chose (N*** me raconta récemment comment, après avoir perdu la sensibilité de sa dextre, il avait encore plus le coeur à l'ouvrage fessatoire au retour d'icelle). En tout cas, je l'espère.

Sous les rafales, mon corps jubile, perd pied et à sa manière, atteint une sorte d'assomption que d'aucuns appellent 7e ciel, d'autres subspace.

Je ne l'appelle pas, je l'espère à chaque fois, et quand je grimpe, je ronronne.

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Au fouet et au parfum

Rue Bricabrac, bdsm, parfum, Hermès

TANDIS que Robert Piguet réédite son fameux Cravache (fragrance pour homme, mais que la belle Dahlia va acquérir, just for fun, et moi aussi sûrement, passez uscade), chez Hermès, c'est à la cravache qu'une amazone rose et cartoon mène son nouveau jus, une eau de toilette plus florale que cuirée, nommée Kelly Calèche, en souvenir de deux standards de la maison.

Rue Bricabrac, bdsm, mains

L'animation flash ingénue perverse en diable, une cavalière façon poney magique décalotte le parfum d'un fouet en volutes, assortie d'un son sifflant claquant vaut le détour sur le site américain (qui depuis fin juin a la primeur de l'odeur), bien plus que la publicité traditionnelle et photographique, genre retour de cavalcade sur la plage de Cabourg (le parfum est plus inspiré par Giono que par Proust, si l'on en croit son "nez", Jean-Claude Ellena).

Nul doute que la cavalière de dos porte au poignet le bracelet étrivières (Hermès évidemment, who else) pour que la panoplie soit bien complète. On frôle la faute de goût des total look. Que j'aimerai qu'un jour, telle publicité serve à un parfum homme...
Mais encore plus, je convoite cette cravache (tirage limité ?) éditée par la maison du 24 Faubourg, une pièce de toute beauté, d'un brun sombre, siglée Kelly 2007.

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Elle voit des mains partout (Part 8)

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Jimmy Moonbeam00

POUR appliquer l'enduit, il faut une taloche (comme quoi, même les travaux de peinture me renvoient à l'immarcescible obsession). Un amant m'en a un jour fait tâter, que je comprenne ce que signifiait l'expression "tu vas prendre une taloche".

Taloche, comme galoche, mioche, pétoche ou gavroche, encore un mot de l'enfance, interdit aux plus de douze ans, de la gifle considérée comme un acte constructeur, et de la main parentale métamorphosée en mano maçonnique.

Il en est des mains comme de toutes les histoires, elles vont souvent dans le mur, surtout celles qui bâtissent les maisons.
Pourtant bien endurantes, ces mains de maçons ne seraient-elles pas mieux accueillies sur un postère douillet, qui en ondulerait, lascif et lubrique, de délice.

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Elle voit des mains partout (Part 7)

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D.R.

ELLE court, elle court, la main. Elle est passée par ici, laissant sa signature écarlate comme un branding éphémère, elle repassera par là, comme une fleur d'hibiscus au grand jour.

Déjà, avant Lascaux, avant la croix malhabile, avant le ciment frais d'Hollywood Boulevard, c'était d'une main se faisant la plus longue et large possible, étirant écartant les cinq doigts à l'acmé, que l'homme laissait sa marque sur sa propriété.

Pour garder plus longtemps son empreinte, ne faudrait-il pas faire une main courante (non, non, il ne s'agit pas de tenir bon la rampe, pour une fois), consigner scrupuleusement ses faits (fesses) et gestes, anoter un grand cahier de greffier (qui ne miaule ni ne siffle).

À deux mains, la suite...

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Elle voit des mains partout (Part 6)

Rue Bricabrac, bdsm, mains
D.R.

CETTE image d'un soutien-gorge résolument emboîtant, envoyée par Billeversée (merci ! je ne sais d'où elle sort non plus) me fait penser que toute obnubilée par mes jumelles rondeurs méridionales, j'oubliais qu'un peu plus au septentrion, s'en trouvent deux autres qui savent aussi recevoir.

Entièrement occupée par la java qui se jouait au sud, et qui vit crever en vol deux paddles et un bambou, sans que mon postérieur n'en garde la moindre trace (heureusement, au niveau du cerveau, le suicide des neurones n'a pas encore commencé), je n'ai qu'à peine sursauté, tressauté, tressailli (ou étais-je déjà dans ces ailleurs qui n'ont pas de nom, mais où les sens s'entressent) quand des gifles ont fait swinguer mes seins. Pourtant, ces deux-là, sous ces coups de main, ont chanté le blues.

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Histoire d'O...mbre (Retour au réel)

Rue Bricabrac, bdsm, XXXB

PRÉCÉDANT la rentrée alors qu'enfin, ils sont presque tous partis, XXXB étonne en plongeant dans le réel, les autobus, le boulot, laissant imaginer qu'ils ont parlé parfois sur la plate-forme du 29 ou devant une machine à café, non point collègues mais coturnes, dans un de ces immeubles où cohabitent aussi bien annexe ministérielle, chaîne de télé câblée et je ne sais quoi d'autre.
Et si elle avait aperçu son Valmont un jour, et depuis, s'était construit des prolégomènes à quelques liaisons dangereuses espérées ?

Cela me fait penser (Valmont et sa troupe) que j'aime de plus en plus lire (et parfois relire) le burp de CUI, qu'il parle de Vélib' ou de fantômes. Puisqu'il était question de rencontres de travail, je conseille sa Cécile de Volanges, feuilleton amorcé l'été mais qui continuera, je le pense, je l'espère, cet automne.

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Elle voit des mains partout (Part 5)

Rue Bricabrac, bdsm, main
D.R.

JOUER à la main chaude...

En cet été frais, c'est l'idéal.
Il n'y a pas de règles.
L'idée, c'est que la main garde son sang froid mais chauffe les sens et les seins, fesses, sexe et plus si entente.
Une paume peut-elle rester fraîche tandis qu'un cul surchauffe, sursaute, surenchérit ?
La paume devient palme d'or en fusion, jusqu'à fondre en son coeur, (surtout si la main est de fer et sans gant de velours).

Que calor la vida.

En bonus-track, les règles du jeu de la main chaude telles que trouvées ici :

(Tout le monde aura compris par quoi remplacer la main tendue derrière le dos et apprécié la tête enfouie dans les genoux du meneur de jeu... J'adore la perversité délicieuse des jeux d'enfants. Reste à trouver sept messieurs avenants qui sauront avoir la situation bien en main)

Nombre de joueurs : 6 à 8.

But du jeu : deviner quel joueur vous a tapé dans la main.

Comment jouer ? : Un joueur, désigné par tirage au sort vient se cacher la tête dans les genoux du meneur de jeu (qui, lui est assis) et tend une main derrière son dos. Les autres se groupent au fond de la pièce : l’un d’entre eux s’avance et tape, plus ou moins légèrement, dans la paume du joueur « aveugle », puis il s’esquive et rejoint le groupe. Celui qui a été ainsi frappé compte jusqu’à 3 avant de se retourner : d’après les physionomies, il doit deviner qui l’a tapé (il cherche aussi à identifier, à l’attitude celui qui vient de se déplacer). S’il tombe juste, il change de rôle avec le « frappeur ». Sinon, le jeu reprend (un même joueur peut venir taper deux fois de suite).

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L'oreille
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aller Si j'expose mon verso, c'est pour le plaisir d'être jouée. Le masochisme est mon moyen de transport amoureux. Même si parfois je pleure... c'est de vie qu'il s'agit. Et quand tu me fais mal, j'ai moins mal.

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