Rue Bricabrac, bdsm, paradoxe
peinture Will Cotton

SA dextre triture et torture mon téton. Je dolore, j'ai envie de crier "stop".
Sa sinistre flatte et frotte mon bouton. Je palpite, j'ai envie de murmurer "encore".

Mais ses deux mains sont solidaires, comme son doux sourire ou la corde qui retient mes poignets derrière ma nuque.

Alors je ne dis rien et je déguste à droite, savoure à gauche, tout se mélange, le haut le bas, je ne suis que petits cris, grands chuchotis, pas si fragile.
Quoi de plus jouissif que quand bien et mal flirtent d'aussi près ?

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