DANS la lignée du "fantasme de la lectrice", il semble acquis par tous que le siège est important.

Personnellement, j'avais il y a longtemps expérimenté une position assez confortable pour tout le monde (à condition que l'homme n'ait pas les genoux pointus). Ce dernier est assis, où bon lui chante, et la femme s'installe à plat ventre sur ses cuisses, les mollets et pieds derrière son dos, le cas échéant attachés, le livre sur sol, devant ou entre ses pieds, le cul à portée de paume, vue imprenable sur... (Les liens peuvent se justifier si les ardeurs percussives du perturbateur sont par trop vives, et puis les liens se justifient toujours, per se.)

Mais d'aucuns préfèrent jucher la femme sur un tabouret, façon tabouret de bar, bien haut perché. Ou alors, à défaut sur quelque chose de plus courtaud, façon diabolo tam-tam le bien nommé ou plus orientalisant, chargé de velours et d'argenture.

Des designers italiens ont imaginé celui-ci, qui me ravit, explicite et de la bonne couleur, mais ne serait-ce pas redondant ?

Rue Bricabrac, bdsm, rouge, tabouret
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