Rue Bricabrac, bdsm, rouge, bondage

EN ouvrant le paquet arborant fièrement les insignes du Royal Mail, et rempli à ras bord de mes dernières folies ebayeuses (dont ce monogant dont je rêvais depuis longtemps), j'ai vu chaque objet était emballé dans un sachet cristal arborant l'étiquette d'un site web, celui du vendeur. Je me suis évidemment précipitée, frétillant des doigts en tapant le seul mot de bondage.

Et là, en feuilletant la totalité de la production maison, je tombe sur le must have de tous ceux pour qui le kinbaku n'est que casse-tête et compagnie, qui passent deux heures à réaliser trois noeuds hésitants et quatre à les défaire, quand ils n'attaquent carrément pas le saucissonnage de guingois aux ciseaux. Le bondage n'est pas chose facile, surtout quand on n'a pas été marin, scout ou sensei stagiaire. Ou encore, quand on est fainéant.

Pour 20 £ moins un penny, et dans un rouge qui met tout de suite de bonne humeur, voici le bondage prêt à poser. Pour les nuls en somme. Un peu le plat préparé Marie du shibari, "c'est moi qui l'ai fait". Mais au moins, fier de son joli entrelacs rubis, le maladroit ne dira plus "nawashi port'nawak".

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