OU alors très lentement, comme le ridicule.

Rue Bricabrac, bdsm, fetish, kitsch

Reléguée, au fond du magasin, de la vitrine où elle trônait au milieu de tout ce qu'on pouvait trouver de rose et de sucré une fois la saint décapité passée, chez le marchand de couleurs, cette lampe d'un goût et d'une facture exquises n'a toujours pas trouvé acquéreur. On se demande vraiment pourquoi. Les fétichistes seraient ils devenus des poètes (n'oublions pas cette merveilleuse parole dans Paris Match du taulier du club de référence "tous mes clients sont des poètes.") ou des écolos, et refuseraient d'orner leurs intérieurs de plastoc et de nylon peinturé en criard ?

Plus sobre, plus jeune designer aussi, voici une table basse qui va bien et qui les soirs de murge, peut laisser penser qu'une soumise est chaude et prête, les quatre fers au sol, et le dos prêt à accueillir repas ou talons.

Rue Bricabrac, bdsm, fetish, kitsch
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