Rue Bricabrac

1. Dame, le jeudi 8 mars 2007:

Aie !! Ok, j'abandonne les chiennes au profit des truies.. (non.. non.. j'ai rien dit !!!)

Belle journées aux Femmes

Réponse de Bricabrac le vendredi 9 mars 2007 à 20:44

Si, si, vous l'avez même écrit !

BàB

2. belino, le jeudi 8 mars 2007:

"Et il y en a beaucoup plus hors du bdsm que dans le microcosme (parce que dans le microcosme, le mémètre est plus souvent un branleur qu'un oppresseur, et qu'une pichenette le fait tomber de son socle (voir chapitres précédents)."
Elle est un peu dure ! Le mémètre du microcosme il n'est pas plus maître que la chichienne n'est chienne, heureusement et on le sait bien ou alors, one more time, j'ai rien compris.

3. Natural-Mystic, le vendredi 9 mars 2007:

Un peu dure ? ben non c'est très soft, c'est la réalité qui est dure...

Réponse de Bricabrac le vendredi 9 mars 2007 à 20:45

J'allais le dire. Merci de répondre à ma place, N-M !

BàB

4. amandier75, le vendredi 9 mars 2007:

Je souriais en lisant le commentaire de Dame...
J'ai eu dans ma vie une femme qui, quand elle prononçait le mot "truie" semblait citer un passage de la Princesse de Clèves, tant elle y mettait d'affectation !
Tous ces mots, "chienne, pute, truie etc" sortis de leur contexte sont pitoyables, bien sûr... Ils peuvent devenir tout autre chose quand, par la magie d'une complicité, ils s'intègrent à une histoire.

Amandier

Réponse de Bricabrac le vendredi 9 mars 2007 à 20:50

J'en parlais dans le contexte. Il se trouve que moi, ça me coupe tout. Ils ne deviennent jamais autre chose. Je n'ai pas de plaisir à l'humiliation, et je n'ai pas envie d'être autre chose qu'une femme. Une femme masochiste, une femme parfois soumise, une femme punie, une femme enculée, une femme qui suce, une femme ouverte, une femme jouisseuse, une femme gourmande, une femme qui en redemande. Je ne suis surtout pas une pute (j'ai toujours dit que j'accepterai que l'on me nomme ainsi si l'on me paye, cher, pour l'entendre). Ni une chienne, même si je suis à quatre pattes le cul en l'air et qu'il ondule pour attirer une main qui se fait désirer. Encore moins une truie. De la même manière que quand on passe aux mots dits d'amour, je ne suis ni un canari, pas plus qu'un chaton, un lapin ou je ne sais quoi. Je suis et reste une femme. Quelque soit le contexte. Je n'y arrive pas autrement.

BàB

5. Natural-Mystic, le vendredi 9 mars 2007:

Chacun ses goûts, chacun voit, on est libre de ne pas les aimer ou de les apprécier mais jamais de les imposer comme c'est trop souvent le cas dans les t'chats où toute femme est abordée avec plus ou moins de délicatesse...

6. Aspasie (chienne de contrebande, mais salope authentique ;-), le vendredi 9 mars 2007:

Finalement, en comparaison des vrais sales cons qui ne méritent pas cette si jolie laisse - elle rappelle tellement que l'attachement, c'est charnel, et que n'est pas toujours maître celui qu'on croit, que c'est peut être dédicacer de la confiture maison aux verrats (pour rester dans la cochonaille) - les tristes sires et autres maîtres-cinquante des sites ont le mérite de l'innocuité. Et finalement, leur lyrisme et dialogues fleuris nous donnent de bonnes occasions de sourire - ce qui n'est pas si fréquent, et qui n'est tout cas pas le cas des sales cons déjà cités.

Réponse de Bricabrac le dimanche 11 mars 2007 à 10:48

Vous avez raison, rions...

BàB

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La mode foufounista envahit tout...