Tandis que l'on parle presque plus d'anorexie (enfin, surtout ailleurs qu'en France où Didier Grumbach, grand maître de la maison haute-couture, botte en touche) que d'organza, et avant de voir quels seront les fétiches fetish de la prochaine saison, voici quelques images (à paraître dans le prochain numéro de W) de Stefano Gabbana et Domenico Dolce, shootés par Steven Klein à Portofino, leur joli nid.
Au sommaire, pas de brides et du fantasme à tous les étages (on peut trouver l'intégralité des dix clichés sur le site officiel de D&G).

Rue Bricabrac, bdsm, Dolce&Gabbana

Amusant de voir comment le couple traite la femme, créature d'une pâleur de défunte, plus mannequin qu'humain. Qu'a donc fait celle-ci ? Pris deux kilos chez McDo ? Brisé net un stiletto en dérapant sur un pétale de rose lors du dernier catwalk ? Insinué que tous les couturiers italiens sont des tafioles ? Prétendu que les modèles en jeans de la dernière collec' étaient immondes ? Elle porte un petit ensemble de chez H&M ? En tout cas, c'est sa fête, à la chérie.

Rue Bricabrac, bdsm, Dolce&Gabbana Rue Bricabrac, bdsm, Dolce&Gabbana

Parlant de talons, les deux hommes n'en font pas le même usage, mais il est clair qu'ils aiment les shoes. Encore plus que les crucifix.

Qui s'y colle maintenant ? John, Jean-Paul, Karl... non, pas Karl. Mais les deux autres, oui.

tags technorati :