Mélie a déposé hier une nouvelle entrée, toujours aussi diserte, délicate, mutine et cervelée, sur son blog.
Comme je n'ai pas trouvé quel était le faux métier, je dépose ici une carte postale sépia envoyée par Dame Saïda, et qui représente un marchand de mèches de fouets en plein commerce. Voilà un bien beau métier, hélas disparu, maintenant, quand les martinets souffrent d'alopécie ou les fouets de gangrène, il faut tout racheter. Le développement durable va-t-il réhabiliter cette fonction et les bourgeois en quête de mèches prétendront-ils qu'il s'agit-là de matos pour doper leurs chevaux vapeur, injustement bridés au nom de l'antipollution et des accidents de la route ?

Rue Bricabrac, bdsm, fouets, métiers

En revanche, et quoi qu'en dise la roborative chanson très tsoin-tsoin de Juliette sur des paroles de Pierre Philippe, Les petits métiers, je connais de très près une gonfleuse de couille, également teneuse de jambe, parfois enculeuse de mouche ou lécheuse de vitrines. Quant à l'ensommeilleur de plomb et porteur de pain (quotidien), il n'est jamais loin. Au contraire des faiseurs d'embarras, bourreuses de mou ou porteurs de guignon que nous fuyons.

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