Ils forment une belle paire d'oxymores, Pan et Pan (ainsi nommés pour éviter des sobriquets qui vexent) ! Ma fête avait été prévue pour hier, je le savais depuis peu, avec une litanie des motifs (non exempte de fautes d'orthographe, je dis ça je dis rien, je garde juste la pièce à conviction en cas de bonus/malus, je ne scanne même pas, c'est dire comme je suis magnanime) en introït (non, ça n'est pas une position), ça c'était nouveau.

Parmi tous les reproches, justifiés ou non (l'idée étant évidemment de jouer avec la réalité sans pour autant utiliser le terrain bdsm, terrain de jeu en ce qui nous concerne, comme un OK Corral où l'on réglerait ses comptes), celui-ci :

Rue Bricabrac, bdsm, trio
texte : P. - Graffiti : P.

Venant de deux hommes, volontaires cette fois-ci pour s'occuper de moi sans que je n'ai eu à formuler quoi que ce soit (au contraire de la première fois, je n'ai rien initié de ces retrouvailles, la soumination, j'en ai soupé !), ce genre d'affirmation pourrait rentrer illico dans le Gradus (que je connais mieux que le Grévisse, oui) pour illustrer l'oxymore (ou oxymoron).

J'ai le corps temporairement tatoué de vos affections brutales, de vos attentions cinglantes, de vos caresses sonnantes, de vos douces violences, de vos baisers cruels, de vos tendres morsures, de vos sérieuses badines, de vos ceintures lâchées. Merci P. et P. De tout mon corps. Et de mon cœur aussi.

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