Page sans titre
Pavillon de chair ourlée
Colimaçon nacré
Qui vibre à chacun de tes mots
Organe sensuel au lobe gourmand
Aussi secret et sexuel qu'une autre caverne
Il suffit d'un murmure pour en affoler l'étrier
Nietzsche vantait celle si petite d'Ariane
Sade la voulait aussi bandante qu'une pine
Parle-lui, plais-moi, plus près
Musique-la, là, sans tralalas
Ou avec falbalas
C'est par elle que je jouis, je l'avoue