C'est le pied

Un peu noyée dans l'info du jour entre la santé du pape, l'arrivée de la grippe et de Vendée-Globe, les funérailles de Jacques Villeret et l'ébauche d'un cessez-le-feu israélo palestinien, la nouvelle s'est faite toute petite.

Car c'est bien de taille qu'il s'agit, et croissante qui plus est. Les p...ieds de nos jeunes gagnent du terrain, la génération montante l'est encore plus aux extrémités. Trois tailles en quarante ans ! Et pompon au rayon des petons en prolongations, s'ils poussent s'est aussi qu'ils s'élargissent. La basket passe aux aveux et plaide coupable. Le 36 fillette, c'est fini, nini. La pompe se porte grande.

Mézalors ? Les soumises à venir, celles que guettent pour fêter leur cinquantième anniversaire les maîtres quadra d'aujourd'hui, seront-elles incapables de chausser ces coquets petits modèles ?

(Plus de modèles ici)

Faudra-t-il supporter qu'elles s'agenouillent dans ces grolles disgracieuses mais confortables aux arpions ?

Ou bien, entre la poire à lavement et le fouet de dressage, le quinqua en quête de tendron devra bander fort pour conduire son élue au lotus d'or ? (Ou à défaut un lotus d'argent, 10 cm, size does matter).

Les Chinois, inventeurs de la poudre et du pied bandé, supplice heureusement interdit depuis près d'un siècle, avaient été les premiers pionniers du 2 en 1 appliqué au bdsm. "Le prélude amoureux classique consistait pour le mari à déchausser doucement son épouse, puis à lui démailloter les pieds. Les bandes de coton ou de soie de 3 mètres de long pouvaient servir à attacher la jeune femme dans des pratiques de soumission."