Ce n'est point charitable de se moquer de son prochain, mais comme le ridicule met un temps fou à tuer, Jacqueline Stallone ne sentira aucune de mes piques. Ce qui est un peu dommage.
Cette dame étasunienne lit, non pas dans les paumes, c'est un commun, il suffit d'arpenter Venice Beach pour en trouver quinze par mile, mais sur les culs.
Si, si. Après l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, voici la dame qui lisait à livre ouvert sur les joues arrières.
Elle a du culot, pensez-vous !
Et comment.

Il faut visiter son site, c'est édifiant, avec la tranche de poilade en prime, éloignez les claviers, il y a du dommage collatéral dans l'air. (Avec toutefois un mauvais point, ce ouaibe plante Firefox, ce qui est mal.) Jackie, le plus sérieusement du monde, en se référant aux plus antiques arts divinatoires qui lisent passé, présent et futur dans les mains, pieds et empreintes digitales (sic), affirme qu'il en est de même des plis et lignes du derrière. Surtout concernant l'amour et la chance.
D'où l'expression avoir du pot.
Sûrement.

Continuons de rire avec Jacqueline. L'empreinte de la fesse gauche correspondant au cerveau droit (et donc la gauche le droit), et la peau cartographiant avec précision notre santé et notre mental, il est urgent de lui expédier un gros plan de notre fondement, en 800 pixels de large minimum.
La vérité est bel et bien ailleurs, Mulder avait raison.
En plus de sa lecture éclairée des révélations du train arrière, la dame renvoie une photo 21x29,7 du sujet de ses inspirations que l'on pourra, si affinités, "offrir à la personne de son choix". (Tu parles d'un cadeau !)

A lire sa biographie, on apprend la genèse de cette culomancie. Ou comment une athlète spécialiste des barres assymétriques puis de la musculation (grâce à un ami de la famille) a découvert qu'elle avait une mission sur terre par la voix d'un medium (un ami de la famille, non pas le même, un autre). Il lui a prédit qu'elle devait devenir astrologue/voyeuse, pardon voyante.
Et qu'elle en aurait le cul bordé de nouilles ?

Après le name dropping, cette sosie de Joan Collins (ou serait-ce de Michael Jackson) invente le cul dropping. (Toutes les illustrations proviennent de son site, ce n'est pas un montage moqueur de la bloblagueuse.)

Je me demande ce que cette culomancienne, après avoir confessé le PDG à 500 plaques et la célèbre maxé hollywoodienne, trouverait à deviner et diviner si on lui adressait ces mains sur fesses magnifiquement saisies par Patrick George.

Elles sont si vivantes, si excitantes, si éclatantes, ces photos (et il est vivement conseillé se promener dans ses galeries, notamment celle des "signatures"), qu'en même temps que le rouge des paumes saute aux yeux, on entend le bruit clair de la claque.