Parfois, les mots manquent...

          

D'ailleurs, le cher ami qui m'a offert cette carte, n'a rien écrit au dos, ne l'a pas postée, me l'a remise en main propre, l'oeil frisé et les lèvres retroussées, conscient du mélange de mauvais goût absolu et de franche hilarité suscités par cette image qui joue du pléonasme.

Après tout, pour une fois qu'on appelle un chat, un chat, on ne va pas barguigner et s'en aller chercher son Nadine de Rotschild pour savoir si telle image est sortable en société.

Dans le fond, entre surréalisme et camp, je l'aime bien, cette minette. Elle est bien honnête.